La vie d’une jeune fille asociale dans une petite ville de campagne anglaise dans les années 60s. C’est bien écrit, cool à lire et ça un petit côté « chroniques de la vie ordinaire » à la Jane Austen assez sympa, par contre je comprends toujours pas pourquoi Graham Joyce est publié dans une collection SF/fantastique/fantasy plutôt qu’en littérature blanche.
Trigger Warning, de Neil Gaiman
Anthologie de nouvelles. J’ai clairement pas tout aimé au même niveau mais The Sleeper and the spindle est géniale, ainsi que Click clack the Rattlebag et The Case of Death and Honey.
Hyperglycémie d’Hélène Ollivier.
Spectacle avec cinq acteurices, sur le management par la créativité, dans une entreprise de confiseries. C’est très bien vu et très cool à voir. Super séquence d’ouverture.
Le Maniement des Larmes, de Nicolas Lambert
Vue partiellement seulement, lors d’une représentation sur la place de la République. C’était très bien. Pièce sur l’affaire des frégates de Taiwan et l’implication de la classe politique française. Hyper documenté, un comédien interprète magistralement plein d’hommes et femmes politiques et on voit le délitement progressif de leur édifice de mensonges et de couvertures.
Poetry de Maud Le Pladec
Vu au théâtre de Chaillot. Trois personnes sur scène, un guitariste et deux danseuse-r-s. De la musique bruitiste, du post-rock, de la musique qui vient juste de la guitare mais en fait non, des danseuse-r-s qui perçoivent (oreillette) une autre musique que le public, des répétitions, des déformations, des transformations… C’était assez étrange mais très cool. Les interprètes faisaient très propres sur elleux de par leur tenue, ça évoquait la danse dans les soirées étudiantes par moment, quelques mouvements de flamenco à un autre, le dadaïsme (dixit the OC qui s’y connait plus que moi), la drogue. Des variations d’intensité lumineuses et quelques gros flashs qui auraient mérité un [TW : épilepsie]. En résumé, un spectacle pas facile d’accès mais très intéressant.
Maciste contre le Capital
Trouvable ici. Détournement de Maciste contre les hommes de pierre par Léo Lebeau & Romain Colliez. Le film original vaut déjà son pesant de cacahuètes mais avec le redoublage (le détournement n’a rien modifié d’autre que les dialogues) c’est génial. Faut un peu de culture gauchiste pour en profiter mais c’est excellent.
Crue de la Seine
Recension
Architecture, Street-art et hyperliens
Qu’est-ce qui est bien ? Les références. Qu’est-ce qui est bien aussi ? Moi ! (en toute modestie). Alors qu’est-ce qui est doublement bien ? Les auto-références !
(Cela dit je trouve cette photo vachement sombre sur l’écran où je suis, c’était mieux sur mon ordi perso)



Les Combattants, de Thomas Cailley
Très sympa, un mélange de Take Shelter et Firewatch. Du survivalisme, de la construction de cabanes, un été français. Des personnages adolescents un peu paumés, classe ouvrière et moyenne. Un camion de recrutement de l’armée, des incendies et du travail du bois.