Après la randonnée internationale, une petite randonnée à la journée (et sans les sacs !) pour finir le séjour. Une boucle au départ de Sem, au dessus de Vicdessos. D’abord sur les traces des anciennes mines du village, puis vers le pic de Rizoul pour une belle vue plongeante sur la vallée et les sommets alentours
Sentenac depuis les hauteurs de SemAttention (dino-)dangerpanneau et fleursDepuis le pic de Rizoul
Dernier jour. Départ du refuge des Fonts, montée sur la crête entre les vallées d’Ordino et de La Massana, puis descente vers les étangs de l’Angonnella, avant de remonter sur la crête puis d’aller chercher (sur un pierrier et dans le brouillard) le port du Rat pour repasser en France, où ce fut ambiance brouillard puis plafond de nuage jusqu’à l’arrivée à l’étang de Soulcem.
station de ski andorraneLe refuge des Fonts perdu au milieu du paysagefleurstructure mystérieuse sur la crêtecrêtevue sur l’Andorre (La Massana et Ordino, a priori)VautourÉtang intermédiaire de l’AngonellaSommets et brumeAutre ambiance côté français
Jour 2, du Pla de Lo Mercat au refuge des Fonts. Très joli passage en forêt avant de rejoindre le GR 11 côté espagnol. Montée tranquille sur le GR vers le refuge de Baïau, avant de descendre manger au lac. À la fin de la pause repas, erreur d’orientation, nous grimpons jusqu’au port de Médécourbe au lieu du port de Baïau. Nous ne nous apercevons de notre erreur qu’après être largement redescendus côté andorran, mais il s’avère que cette erreur nous fait gagner du temps sur notre itinéraire. Passage par le refuge du Pla de l’Estany avant de remonter jusqu’au refuge des Fonts où nous nous arrêtons pour la nuit (et faisons un feu dans la cheminée pour remplacer notre brûleur absent).
Pla de lo mercatMontée vers le col de MédécourbeRefuge et étang de BaïauÉtang ForcatsVue sur la vallée de La MassanaMer d’herbeCascade
Trois jours de randonnée dans les Pyrénées, passant en France, Espagne et Andorre, au départ de l’étang de Soulcem. Nous étions trois, Stram, P. et moi. Un petit souci quand le soir du premier jour nous nous sommes rendus compte que le brûleur et la bouteille de gaz emportés n’étaient pas compatibles, mais on a réussi à gérer la situation. Premier jour avec beaucoup de montée et un fort vent de face constant, c’était assez éprouvant. En conséquence, nous n’arrivons pas du tout au refuge de Baïau comme prévu à la fin de la journée, mais au Pla de Lo Mercat, 3h en retard sur les temps annoncés. Nous sympathisons avec des Bretons qui campent un peu plus bas et nous dépannent d’un brûleur, permettant de finir cette longue journée sur un repas chaud.
Étang de Soulcem vu d’en hautTente au pla de lo mercat
Levés vers 8h le second jour, une grasse mat selon les standards randonnesques. On est un peu plus bas que le premier jour, moins dans la caillasse (par moments) et donc on voit plus d’animaux, des isards et des marmottes principalement, des choucas, un troupeau de moutons et quelques rapaces aussi.
Après un petit déjeuner et un rangement rapide du bivouac, on descend un peu pour récupérer de l’eau (nos réserves étaient vraiment basses après le petit-déjeuner). On dissimule les sacs pour faire un aller-retour qui nous permet de voir de plus près le canyon d’Ordessa sans s’engager sur la vire des fleurs (on a beaucoup hésité, mais ça aurait fait une trop grosse journée).
Après un passage par (et un déjeuner au) lac de Salarons (à sec), on attaque la montée vers le col d’Escuzana, puis une montée sans les sacs au pic de Mondarruego avoisinant (2845m). Retour vers la France par la vire d’Escuzana (qui nous console de celle des Fleurs), puis par le col de Gabietou. Retour aux voitures, puis covoit de Lourdes à Toulouse.
MarmotteIsard bondissantIsardsIsard sur la crêteLe canyon d’OrdessaVue sur le DoigtVire des fleurs depuis le pic de MondarruegoGenets depuis le pic de MondarruegoVire d’EscuzanaChoc des couleurs Aiguilles au col de GabietouRetour vers le port de Boucharo
Randonnée sur deux jours avec un bivouac au milieu. A la fois avec P. d’Albi et G. de Pau, ça donnait l’impression de connecter deux points de mon graphe social, très satisfaisant :)
Nous avons suivi l’itinéraire proposé par visorando sur cette boucle, en rajoutant la montée au Taillon (3144m) le premier jour. La montée à la Brèche se fait tranquillement malgré des névés encore important après le refuge. Grand beau temps pour cette partie et masse de monde, qui s’arrête à la Brèche. Déjeuner tranquille après et dissimulation des sacs pour monter plus léger au Taillon. Là, beaucoup de vent et des nuages devant le soleil, on n’était pas réchauffé, mais très belle vue sur la Brèche d’un côté, le Vignemale de l’autre (et même le pic du midi d’Ossau par une trouée entre deux autres sommets). Redescente côté espagnol et bivouac précoce pour ne pas descendre trop dans la vallée.
Vue sur la vallée des TourettesTeintes variées depuis le port de BoucharoPetite cascadeLe haut de la grande cascade de Gavarnie, qui se jette dans le cirqueRefuge des SarradetsRefuge des Sarradets et brècheA l’attaque de la brècheLe DoigtEn chemin vers le Doigt et le Taillon derrièreDepuis le TaillonVue sur le Casque de Marboré depuis le côté espagnol
Randonnée sur la journée au départ de Gourbit, pour aller à l’étang d’Artax, plus une petite boucle sur les crêtes. Départ dans la hêtraie, pause déjeuner au lac, puis vues très dégagées depuis la crête. On voyait la crête de la randonnée au Pla des Peyres depuis celle-ci. Un peu d’orage menaçant, mais qu’on a réussi à éviter jusqu’à 10 minutes avant le retour à la voiture.
Randonnée à la journée au dessus de Foix. On a eu beau temps, mais Tarascon à côté était plongé dans la pluie une bonne partie de l’après-midi. La randonnée est relativement plate, on commence assez haut et on suit une crête, avec vue sur Foix d’un côté et Tarascon de l’autre.
Deux jours de randonnée solo sur le GR 367, au départ de Port-la-Nouvelle. À la base j’avais prévu de randonner un peu plus longtemps, mais je pense que j’avais vu un peu trop ambitieux. Je ne sais pas si les étapes sont surdimensionnées pour quelqu’un en autonomie complète ou si c’est moi qui était en petite forme, mais à la moitié du second jour j’étais au bout de ma vie, ça s’est réamélioré un peu dans l’après-midi mais j’ai décidé de pas tenter le diable et j’ai visé un bus qui repartait pour Narbonne le lendemain matin.
Bref, aux problèmes d’endurance près, c’était une jolie rando. Très beau début, avec une montée au dessus du niveau de la mer, passage par d’anciens blockhaus puis entre des éoliennes, redescente dans la plaine depuis le plateau, passage sous une autoroute, visite de Roquefort-des-Corbières, puis des montées descentes dans les barres rocheuses avant d’arriver à Durban.
Second jour, montée à la Vierge de Récaoufa, passage par plusieurs plateaux et collines, on évite les grands axes (enfin grands pour le coin) pour rester sur des petits sentiers ou des routes forestières. J’ai coupé avant d’arriver au chateau d’Aguilar, qui avait l’air joli, mais trop fatigué j’ai rattrapé la départementale pour faire du stop jusqu’à Tuchan, où j’avais repéré qu’il y avait un bus pour Narbonne le samedi matin.
Samedi, bus donc, puis rapide visite de Narbonne (centre-ville, extérieur de la cathédrale) avant d’attraper le train pour Toulouse.
Côté matériel, j’avais investi dans une tente une place dont je suis content, très légère, nécessite des bâtons de marche pour faire office de structure portante, tient bien le vent (ça a beaucoup soufflé la première nuit). J’avais aussi pris mon Reflex, mais une fois de plus 2/3 des photos sont à jeter pour des questions de focus (indépendamment de la météo un peu maussade) – cf ci-dessous pour une partie du tiers restant. Faut vraiment que je prenne le temps de l’apporter à un réparateur ou d’investir dans du nouveau matériel (mais ça coûte si cher le matos photo… >_<)
#complotsFacilesCheminÉolienne !Éolienne de profilVue sur la plaine et l’autorouteDepuis Roquefort-des-corbièresPlateau et éoliennesChâteau de DurbanLigne d’éoliennesAncien tracteurChâteau d’Aguilar
Randonnée le long du sentier côtier entre Hendaye et Guéthary. L’espace naturel protégé à la sortie d’Hendaye est très beau, mais après le sentier longe la route sur de grande portion, c’est pas la randonnée la plus « plongée dans la nature que j’ai jamais fait (typiquement celle au Jaizkibel de l’autre côté de la frontière donne largement plus cette impression) . Mais on voit beaucoup l’océan, on traverse Saint-Jean-de-Luz et Guéthary qui sont jolis, on voit des plages et des montagnes en arrière-plan.
Photos un peu perraves au tel pour illustrer un peu quand même.
Espace naturel protégé, Hendaye, et montagnes en arrière-planPlage entre Hendaye et St-Jean-de-LuzLes deux jumeaux, HendayeBaie de Saint-Jean-de-Luz