Quelques détails au hasard de notre promenade. C’est un gros ensemble de bâtiments classés patrimoine mondial de l’Unesco, répartis dans toute l’enceinte de la forteresse, avec des grandes étendues enherbées entre.






Quelques détails au hasard de notre promenade. C’est un gros ensemble de bâtiments classés patrimoine mondial de l’Unesco, répartis dans toute l’enceinte de la forteresse, avec des grandes étendues enherbées entre.
Des vues variées de Toulouse prises au fil de promenades.
Roman graphique de 400 pages. Mia termine ses études en pensionnat et rejoint l’équipage d’un vaisseau spatial qui rénove des bâtiments. On découvre en parallèle sa vie avec l’équipage du vaisseau et ses années en pensionnat. C’est difficile d’en dire plus sans divulgacher, et ça vaut le coup de rentrer dedans sans en savoir trop. L’univers est très original, limite onirique et très clairement poétique. Ça parle d’exploration spatiale, d’Histoire, d’architecture et de rénovations, de Sentiments, de liens familiaux. Le dessin est juste magnifique. J’avais bien aimé Sur la route de West de la même autrice mais sans plus, là c’est une grosse claque, probablement ma recommandation de l’année 2020.
Une petite semaine à Paris, pour voir la famille, les ami.e.s, et se réapproprier un peu la ville (à chaque fois que je réarrive à Paris depuis la gare Montparnasse j’ai un petit mouvement de recul à base de « mais c’est bruyant, plein de monde et ultra dense et urbanisé », et il me faut le temps de retrouver les bons aspects). Une promenade sur les quais de Seine par grand soleil a aidé. J’ai retrouvé les séries de street-art que j’aime bien photographier et cataloguer, et Paris-plage ça avait l’air plutôt sympa sous ce soleil.
Court livre de 1977. Ça parle d’architecture de façon très générique. Ça m’a un peu déstabilisé au début, je m’attendais plus à un manuel pratique, mais au final c’était assez intéressant et ça reste assez actuel pour un livre de 77. L’auteur parle de l’épuisement des ressources et du besoin d’avoir une empreinte des Humain.e.s sur la planète, architecture comprise, qui soit la plus légère possible, si on veut justement assurer la survie de l’Humanité sur le long terme. Il discute ensuite de ce qu’apporte l’architecture ou plus généralement le bâti de façon très basique : une protection contre les conditions climatiques, de l’intimité, une collecte d’eau potentielle sur les toits, un espace pour les cultures autour des habitations, des espaces publics. Il s’attarde aussi sur la forme bidonville de l’architecture, qu’il considère comme l’exemple de l’architecture de survie, avec l’autoplanification des habitations, la gestion commune des espaces publics, l’empreinte légère par rapport aux villes, les circuits courts… Il parle de l’importance de faire des communautés à une petite échelle ou les gens se connaissent et se sentent attachés à la communauté.
Et il parle aussi de l’importance de l’autoplanification pour que les habitations répondent aux besoins des habitant.e.s, avec l’idée que les architectes professionnels devraient être davantage dans une position de conseillers que d’experts-décidants.
C’est court, illustré, et intéressant, je recommande.
Quelques photos de l’observatoire lui-même.
Petite randonnée depuis le col du Tourmalet jusqu’à l’observatoire du Pic du Midi de Bigorre. Nous avons profité des journées du Patrimoine pour visiter l’observatoire sur un tarif moins cher qu’habituellement, mais vu que nous étions arrivés un peu tard nous n’avons pas pu voir les coupoles (dommage, c’est quand même le plus intéressant), seulement le planétarium et les espaces intérieurs et extérieurs accessibles au public.
On a un peu craint sur le temps vu qu’il y avait un plafond nuageux assez bas durant notre ascension, mais finalement une fois l’intérieur visité, il y avait un grand soleil (mais aussi un bon vent et des températures de l’ordre de 5°C…)
Aperçu de quelques églises visitées à Bordeaux.
Musée dans l’enceinte de la Vieille Charité. On a juste fait un tour du bâtiment sans aller voir les expositions. Jolies lumières grâce aux murs ocres, belle architecture.
Pas très loin, la cathédrale de Sainte Marie-Majeure, ou la Major. Grands espaces mais qui rendent pas très bien en photo, mosaïques géométriques au sol.
Recueil de descriptions de villes faites par Marco Polo au Grand Khan. Italo Calvino explique son procédé d’écriture au début. Les concepts derrière les villes sont assez inégaux mais y’en a de fort cools, et le livre est assez contemplatif (c’est essentiellement des descriptions avec quelques échanges entre Marco et le Khan entre les chapitres).