






Depuis le refuge, nous sommes montés au col du Milouga, avant de redescendre à l’étang éponyme.
Les vues une fois en hauteur, presque arrivé.e.s au refuge ou une fois que nous y étions.
Randonnée du parking du Pla de la Lau jusqu’au refuge des Estagnous, et retour jusqu’au parking par le col de Milouga. Belle randonnée sur deux jours, avec nuit au refuge. J’y ai mystérieusement perdu un T-shirt, jamais retrouvé au matin.
Par manque de crampon, nous n’avons pas tenté d’atteindre le sommet du Valier, mais la randonnée était déjà très belle, avec des paysages très variés selon les étages et les versants.
La suite d’Iron Sky, logiquement. Clairement plus de moyens que le premier, mais toujours autant de WTF. Suite aux événements du premier film, la surface de la Terre est dévastée. L’Humanité survit dans l’ancienne base nazie sur la Lune, qui se dégrade de jour en jour. Une mission de la dernière chance se monte pour aller récupérer sur Terre, ou plutôt dans la Terre, une source d’énergie qui permettrait de remettre en marche une navette et d’atteindre Mars. Mais récupérer cette source d’énergie ne sera pas de tout repos : la Terre Creuse est le foyer d’une race reptilienne extraterrestre qui contrôlait l’Humanité avant la destruction de la surface de la Terre… oh, et il y a des dinosaures aussi.
Le scénario est plein de trous, mais on regarde pas le film pour ça. On le regarde pour voir des Nazis montés sur des dinosaures, dans une base lunaire. Et pour toutes les idées WTF que le film place. Ça se regarde bien, j’aurai juste bien voulu qu’on se passe de la romance inutile de la toute fin du film.
L’affrontement d’un berger et d’un loup dans les Alpes. Sympa à lire, mais je l’ai trouvée moins puissante qu’Ailefroide (en même temps elle doit être 4 fois moins épaisse, y’a moins de temps pour développer les thèmes).
Ça parle du thème de l’affrontement homme/nature (et plus spécifiquement les problèmes de cohabitation berger/loup/autres sphères humaines)
Angleterre, années 80s. La flotte partie reprendre les Malouines se fait détruire par les missiles argentins, dont le logiciel embarqué de reconnaissance visuelle sait parfaitement viser les navires ennemis. Il faut dire que la science informatique a bien bénéficié de la longue et fructueuse vie d’Alan Turing, toujours fringant en cette fin de siècle. C’est notamment grâce à ses travaux sur le Machine Learning que les premiers humains artificiels ont pu être commercialisés, et notre narrateur, Charlie Friend, en a acheté un…
Vous l’aurez compris, le livre est une uchronie technologique qui se focalise sur l’impact de ces technologies dans la vie de quelques protagonistes, un peu comme dans Never Let Me Go, de Kazuo Ishiguro. On suit la relation entre Charlie, sa voisine, et Adam l’humain artificiel. C’est lent comme l’Angleterre, le paysage politique rappelle l’Angleterre actuelle (il y a un socialiste charismatique qui dirige le Labour dans l’opposition, ça parle de sortir de l’UE, une potentielle récession…) Ca se lit bien, quelques facilités d’écriture par moment (notamment le narrateur est particulièrement amorphe et laisse tout arriver autour de lui, c’est volontaire mais c’est un peu agaçant parfois).
Série basée sur la vie d’Anne Lister, une propriétaire terrienne anglaise ayant vécu au XIXe siècle. Anne Lister est lesbienne et n’a pas peur de l’affirmer à une époque où le mariage hétérosexuel est la norme pour les femmes. De façon générale elle n’a pas peur de mener sa vie comme elle l’entend, de voyager seule, de gérer ses terres, de se former à la médecine, et de dire aux mecs d’aller se faire voir.
J’ai beaucoup aimé. Le personnage d’Anne est très intéressant, elle n’est pas présenté comme archétypalement bonne parce qu’elle est l’héroïne : c’est une propriétaire, elle est sans pitié avec ses gens, elle traite mal sa sœur qu’elle considère comme inintéressante, et en même temps elle se jette à corps perdu dans ses relations amoureuses.
C’est super bien joué, grosse recommandation.
Essai sur la culture du viol, par l’autrice du blog Crêpe Georgette. Un peu déçu parce que trop générique à mon goût. Je pense que je n’étais pas le public visé, le livre revenait sur beaucoup de choses dont j’étais déjà conscient. La partie sur les spécificités de la relation de la culture française à la culture du viol est finalement assez mince.
Randonnée du samedi avec OC. On n’a pas eu trop de chance sur le temps, il y avait un gros nuage en plein milieu du cirque qui est resté en place tout le long de la journée. On a commencé la randonnée sur le plateau de Bellevue donc on a pu voir les sommets de loin, mais dans le cirque on avait un couvercle qui nous cachait la vue, mais ça restait assez impressionnant.