Boîte de nuit abandonnée (2/2)
Archives par mot-clé : exploration rurbaine (bah oui c’est à la lisière)
Boîte de nuit abandonnée (1/2)
Un ancien moulin qui utilisait la force du cours d’eau, transformé ensuite en boîte de nuit, puis victime d’effondrement de sa route d’accès et d’incendies. Dans certaines parties il ne reste que la structure en pierre, d’autres ont encore les planchers des étages, mais ils sont en dans un état de délabrement avancé, et inspirent peu confiance.
Maison abandonnée
Pas loin de la piscine dans le même état.
Tremplin
Exploration avec OC de l’ancien tremplin de saut à ski construit pour les JO d’hiver de 1968.
Tags et fresques alentours
Les environs du bâtiment des posts précédents.
Pièces et sous-sols
Poursuite de l’exploration du même bâtiment que dans l’article précédent.
Bâtiment abandonné
Une longue balade à vélo avec un camarade de promo (K.), pour aller trouver ce bâtiment, aperçu lors d’un trajet en voiture. Le temps était maussade, avec un petit crachin désagréable, mais ça semble être une constante du février nancéen. Le bâtiment avait partiellement brûlé et certains planchers n’inspiraient pas confiance, on a préféré jouer la sécurité. Rez-de-chaussée, étage et cave, une cour intérieure envahie par la végétation, deux parties visiblement construites à des époques différentes.
Grenoble
Je suis en vadrouille à travers la France. Après trois jours à Lyon pour la fête des Lumières, je suis désormais à Grenoble. Les posts sur la fête des Lumières arriveront plus tard, vu que je n’ai pas les photos : j’ai emprunté des cartes SD (les cartes qui vont dans mon appareil photo) durant le weekend, pour ne m’apercevoir que dans le train pour Grenoble que j’en avais une sur moi depuis le début.
Or donc, Grenoble. C’est plein de montagnes, et le ciel est bas comme un couvercle. Par certains côtés (les nuages gris, les trucs en pierre grise recouverts de mousse), ça fait un peu penser à Édimbourg. Il y a aussi un petit côté architecture soviétique qui ne déparerait pas au Havre. Et certains monuments absurdes font vraiment uchroniques.
