Après la Halle Freyssinet, nous avons continué dans le XIIIe jusqu’à la Gare Masséna. J’ai été assez désagréablement surpris de me rendre compte que certains des collages que j’avais photographié l’après-midi avait été vandalisés entre temps.
Aussi, si les grandes œuvres murales présentées dans ce post participent à « remettre le street-art dans la rue », ce n’est pas le cas de tout ce qui a été exposé à la Nuit Blanche. Typiquement, les œuvres de la Halle Freyssinet comme celles de la Tour 13 il y a plusieurs mois participent de la présentation dans des galeries alternatives, mais sans vraiment faire sortir les expositions du système de galerie, ce qui est dommage.
J’ai donc fait et gagné la Nuit Blanche. Gagnée ? Oui, puisqu’avec quelques ami-e-s nous avons décidé et réussi à voir tous les événements in du parcours (ou du moins à passer devant, nous n’avons pas attendu certaines performances d’art vivant qui recommençaient trop longtemps après notre arrivée). Nous avons donc commencé Gare d’Austerlitz à 19h, et avons déroulé la « Grande Randonnée Artistique » proposée par la mairie. Nous avons fini vers 5h du matin, en repassant Gare d’Austerlitz et à la Halle Freyssinet, pour apprécier les œuvres avec moins de foule autour.
(Dans la Halle même, les autres œuvres étaient dans des alcôves sur le côté.)
Un ghetto blaster diffusait des chansons des artistes graffés.