Pour le dernier jour, visite des musées du Vatican et de la basilique saint-Pierre. Beaucoup d’œuvres de style et d’époques différentes, un peu overwhelming en terme de quantité de trucs artistiques. Très belle collection d’art contemporain sur la thématique de la foi, mais les photos rendaient très mal (les salles n’étaient pas toujours très éclairées).
SarcophageStatue d’AnubisChérubins et crocodilePaon récupéré du mémorial d’HadrienPlafond, musée du VaticanPlafond, musée du VaticanPlafond toujours, galerie des cartesArmoiries papales, galerie des cartesPetite mosaïque de solDétail d’un plafond, le triomphe de la chrétienté sur le paganismeDétail d’un voletYet another plafond#passionPlafondDescente de croixEscalier de la sortie
Au sortir d’un voyage interstellaire en animation suspendue, la capitaine du Ragtime découvre que l’IA de bord ne fonctionne plus et que 30 passagers ont été tués. La planète qu’elle orbite envoie un duo d’enquêteurs résoudre l’affaire.
Sur le papier ça avait l’air cool, mais ça souffre fortement du problème de l’auteur d’un autre genre que la SF qui se dit qu’il va révolutionner le genre parce qu’ils sont gentils avec leurs petits mickeys, et qui finit surtout par réinventer les poncifs. Autant j’avais beaucoup aimé la suite de novellas Molly Southbourne du même auteur, autant là c’était sans grand intérêt. Ça aligne les grands concepts – aliens ! trous de vers ! IA ! mégacorporations ! terraformation ! – sans en faire grand chose, y’a beaucoup trop de personnages qui sont introduits et mal développés, le côté chambre close fonctionne pas du tout… Bref c’est foutraque, et y’a pas eu de travail d’édition.
Pas Rome à proprement parler, puisqu’on était à 1h de train, au bord de la MER. Super beau temps, on a bien profité de la plage (en manteau quand même, faut pas déconner, mais on a pris un petit coup de soleil). Reste de la villa de Néron et port de pêche, et les meilleures pizzas qu’on ait mangé du séjour.
DiguePlage et nuagesCorbeau en arrivéeDigue et ruines de la villa de NéronÉcumeTentaculesGoéland juvénileEn volTrois oiseaux et un bateau Jetée Pêcheurs et vagues
Jeu vidéo narratif sorti en 2022. Nouvel arrivant dans une station spatiale et en rupture de contrat avec une corporation déterminée à nous récupérer, on tente de trouver notre place parmi les différentes factions gérant la station, de récupérer un peu d’argent pour acheter de la nourriture et le produit chimique qui évite à notre corps robotique de tomber en déliquescence. Au fur et à mesure de notre vie sur la station, on va interagir avec plein d’habitants et choisir parmi plusieurs options celle qui nous convient le plus pour reconstruire une vie ici ou sur un vaisseau en partance.
J’ai pas mal aimé l’ambiance ; le côté station spatiale désormais auto-gérée, avec des conflits de gestion, des idéologies et des structures de pouvoir différentes qui s’affrontent était bien fait, le côté « les corpos sont toujours en embuscade pour tenter de rerécupérer la station » marche bien aussi. Les multiples fils narratifs des différents habitants avec lesquels on interagit sont globalement bien écrits. Par contre le jeu consiste essentiellement à cliquer pour voir des choses se dérouler. Souvent les choix multiples de dialogue n’ont pas vraiment d’impacts sur l’histoire. On peut rallier toutes les factions à la fois sans se fermer de portes. Un peu dommage au vu des thèmes abordés de ne pas avoir fait plus de choix qui ont un réel impact sur le déroulé de l’histoire.
Anciens abattoirs reconvertis en galerie d’art moderne. Je n’ai pas été très convaincu par les expos photos affichées, mais le lieu était beau, et il y avait un gros marché assez cool à côté, avec pas mal de street art.
Pont Settimia SpizzichinoBâtiment visible depuis la centrale MontemartiniFresque muraleToits de l’abattoirIntérieur d’un des abattoirs pas encore réaménagéStalle pel bestiame domitoBâtiments et gazomètreMarché et ancien bâtiment de l’abattoirMarché et gazomètreGhostbustersSpiderman, spiderman
Roman fantastique paru en 2022. Trois survivants d’un accident de train se retrouvent dans un village isolé des Vosges, en 1936. Ils vont découvrir que la population en a été décimé par deux monstres qui hantent le village à la nuit tombé, et tenter de les affronter. On suit en parallèle les points de vue des trois personnages tels que relatés dans leurs journaux intimes, qui détaillent à la fois leur vie depuis l’accident de train et leur passé.
Globalement j’ai bien aimé l’écriture, la triple narration et les effets permis par le fait que les persos racontent des événements passés mais détaillent aussi ce qui se passe au moment de l’écriture étaient intéressants (le fait que l’on apprenne au début du livre que Paul rédige depuis une cellule mais qu’il faille ensuite les 2/3 du livre pour que l’on ait les événements qui y ont mené). Par contre l’intrigue principale avait l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette. Il y a des monstres, ok, mais le pourquoi de leur existence est assez random, les interactions entre les personnages sont assez stéréotypées. Les passages les plus intéressants sont ceux qui détaillent le passé de Paul, la partie « fantastique du roman est finalement assez superflue.
Musée d’art antique hébergé dans une ancienne usine électrique. La juxtaposition des œuvres antiques et des machines donne une ambiance très cool, un peu à la American Gods.
Tecnomasio Italiano Brown BoveriMosaïque trouvée dans des thermes, 1er siècle avJC
Quatrième jour, principalement dans le Trastevere. Un peu de géocaching, des photos de street art, des nuées immenses d’étourneaux dans le parc Garibaldi (et un guitariste électrique qui vivait sa meilleure vie), quelques visites d’églises
Restes du temple d’Apollon SosianusDétail des restes du temple d’ApollonÉcole Goffredo Mameli dans le TrastevereCollage (Liars)Collage (coronavirus)Détail de la façade de l’église Sainte-Marie du TrastevereSainte-Marie du Trastevere, détail du plafondSainte-Marie du Trastevere, VitrauxVue sur Rome depuis la voie San Pietro in MontorioFontaine de l’Acqua Paola et coucher de soleilCoucher de soleil et arbres à contrejour
Sainte Marie Majeure (et petit déjeuner hors de prix dans un café), Domus Aurea, le Colisée (et pizza), parc de la villa Celimontana, Casa Romane del Celio, Cirque Maxime, Jardin des Orangers, quartier juif (et artichauts à la juive). Une journée avec beaucoup de déambulations et beaucoup de sites antiques ou religieux.
Intérieur de Sainte Marie MajeurePlafond de Sainte Marie MajeureUn de mes pet peeves : une sculpture d’église dans une église (et elle est même tenue par des statues alors que la mini-église comporte des mini-statues !)Autel de la Patrie vu de l’arrièreColiséeColisée, partie briséeColisée, vue en coupeColisée toujoursBasilica Santi Giovanni e PaoloClivo del ScauroJardin des OrangersDôme de Santa Maria in Campitelli vu depuis le portique d’Octave
Sept jours de vacances à Rome avec OC. Première fois dans la ville pour moi, seconde pour elle. On a eu des conditions météos assez idéales pour la mi-novembre. Première nuit du côté du parc Borghese, puis on a bougé dans un autre hébergement du côté de la gare de Termini, plus centrale pour se déplacer.
Quelles impressions sur la ville ? Déjà, c’est large, espacé, avec des espaces de nature préservés. La construction progressive sur des milliers d’années et sur une zone étendue depuis le début donne un style très particulier, avec à la fois une densité incroyable de vestiges historiques, de couches de bâtiments sur un même site, et en même temps de la place pour des rues larges, des parcs, de la nature. La construction sur une zone avec des collines donne aussi de nombreuses perspectives et points de vue sur la ville. Personnellement j’ai énormément aimé cette forme urbaine.
Une des entrées du parc BorgheseVolière dans le parc BorgheseGaleria Nazionale d’Arte Moderna Galeria Nazionale d’Arte Moderna, détailPiazza del PopoloTrois bâtiment dans le parc BorgheseGelateriaPanthéonDétail du PanthéonFontaine de Trévise et touristesTunnel