White Knight, de Sean Murphy

Roman graphique sur Batman, qui imagine un Batman toujours plus violent et un Joker qui, à l’aide d’une drogue expérimentale, sort de sa psychose. Les rôles commencent à s’inverser, avec un ex-Joker qui décide de devenir conseiller municipal et d’assainir la ville, là où Batman provoque destructions/actions illégales/collusion politique.

C’était assez cool. J’aime bien le dessin, le scénario intègre pas mal d’éléments de différentes époques de Batman (les différentes batmobiles, différents styles vestimentaires du Joker) et pose des questions de brutalité parapolicière, de détournements de fonds, de justice sociale. La caractérisation du Joker et surtout d’Harley Quinn est intéressante. C’est pas mal d’avoir un one-shot avec une histoire et un nombre de personnages resserré. J’ai lu Dark Nights: Metal ensuite, qui est un gros crossover de l’univers DC, et bon y’a qq jolies planches mais l’histoire est boursouflée à mort, on voit bien la différence entre les deux choix de narration.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.