Promenade dans la campagne grenobloise, avec géocaching au passage. Plein de couleurs automnales, de jolis points de vue sur la ville et les montagne, et des discussions cools.
Ces trois dernières œuvres sont visiblement à mettre dans la même catégorie que ce pochoir photographié en mai.
Exposition dans les locaux de l’école d’informatique 42 de la collection de Nicolas Laugero Lasserre. Les guides étaient encore pas très bien rodés du coup les explications et contextualisations étaient un peu à la one again, mais ça rendait bien. Des œuvres créées in situ mais aussi beaucoup d’œuvres qui, bien que créées par des artistes qui viennent du street-art/exposent dans la rue, n’ont elles jamais connues la rue (les pochettes de disque de Shepard Farey, les nombreuses œuvres sur toile). Du coup on peut se poser la question de l’étiquette de street art (même si dans l’expo ils parlent plutôt d’art urbain). Très peu de tags aussi, le street art est limité ici aux formes plus « bourgeoises » que sont le pochoir, le collage. Une réinterprétation d’un wildstyle avec des planches de bois colorées assez intéressante cependant. Dans les locaux les œuvres sont bien visibles et mises en valeur, mais l’éclairage néon prévu pour un environnement utilisé comme salle de classe/lieu de vie ne donne au final pas un bon éclairage permettant de faire de belles photos (ou alors c’était moi qui était mauvais). Les différents plans sont écrasés et les détails ne ressortent pas.
La collaboration Photograffée, c’était un partenariat entre un photographe et le crew 2AC (qui ne s’écrit donc pas ZAC comme je le croyais jusqu’ici en recensant les compteurs qu’els avaient redécoré dans le XIIIe). Des photos retravaillées et dessinées, qui rendaient des trucs assez cools avec des univers sympa.
Une collaboration à nouveau, entre Vinie (dont j’ai déjà photographié des murals) et Réaone (que je ne connais pas). Il y avait plusieurs salles sur le thème forêt, assez sympa à visiter mais qui rendaient mal en photo.
Par Philippe Hérard, dont j’avais déjà photographié une œuvre dans le XIIIe.
Plusieurs beau murals de Jana & JS. J’aime bien ce qu’els font.
Deux installations différentes, une par Iza Zaro, assez dense, avec des dessins au pochoir sur les murs ou sur des extraits de documents divers, visiblement assez autobiographique. J’ai bien aimé l’accumulation de détails. J’étais un peu plus perplexe devant le partenariat avec photomaton.
Une seconde installation par Bault, Popay et Tétar. Quatre œuvres dans une salle relativement dépouillé et sombre. Assez cool.
Ces deux premières photos proviennent d’une installation de Swar qui figurait une maison abandonnée. J’avais pris d’autres photos mais elles ne rendent absolument pas justice à l’œuvre, que j’ai trouvée très réussie pour l’évocation d’un lieu abandonné tout en étant clairement fantasmagorique par certains côtés.
Détail de l’installation Nosbestomac, très organique. D’après Stram, ce serait « le nounours maléfique qui contrôle tout », je suis assez d’accord avec cette interprétation.
Deux photos de l’installation « Tribulations », de No Rules Corp. Il y avait une grande arche de valises dont on voir le bas dans la photo, c’était assez cool.
Je suis allé voir avec MLB, Stram et al. une exposition de street-art à Malakoff, qui finit le 30/10/2016. C’était très bien, je la recommande. C’est dans un hangar qui va être démoli, le lieu est sympa et l’expo riche, pour seulement 3 €. Je poste au fur et à mesure.
Premier artiste, Mosko, qui fait des pochoirs d’animaux. Ceux que j’avais vu dans Paris étaient un peu kitsch à mon goût, mais les vitraux monochromes de l’expo sont cools.
L’ordre de parution de mes articles est un peu chamboulés par rapport à l’ordre dans lequel je vis les trucs. C’est pour masquer et obscurcir ma vie, pas du tout parce que ma gestion des photos est bordélique, non non non.
Bref, ici les clichés de graffitis pris au niveau du rond-point du Grésivaudan dans la banlieue grenobloise.