Exposition temporaire au Musée des Arts et Métiers, qui mélange des planches de Peteers et Schuiten et des machines et pièces des réserves du Musée, présentée pour leur aspect esthétique ou pour leur fonction d’aide au dessin. L’expo était sympa bien que peu éclairée (ce qui ne facilitait pas la prise de photos au téléphone), avec du papier et des crayons mis à disposition pour pouvoir dessiner les machines.
Scaphandre (qui fait penser à ceux dans Bioshock)Nouveau porte-mine automatiquePlanche de la 12Le réseau d’UrbicandeAstrolabe géantReprésentation du système solairePartie d’une lunette astronomique
Exposition dans les locaux de l’école d’informatique 42 de la collection de Nicolas Laugero Lasserre. Les guides étaient encore pas très bien rodés du coup les explications et contextualisations étaient un peu à la one again, mais ça rendait bien. Des œuvres créées in situ mais aussi beaucoup d’œuvres qui, bien que créées par des artistes qui viennent du street-art/exposent dans la rue, n’ont elles jamais connues la rue (les pochettes de disque de Shepard Farey, les nombreuses œuvres sur toile). Du coup on peut se poser la question de l’étiquette de street art (même si dans l’expo ils parlent plutôt d’art urbain). Très peu de tags aussi, le street art est limité ici aux formes plus « bourgeoises » que sont le pochoir, le collage. Une réinterprétation d’un wildstyle avec des planches de bois colorées assez intéressante cependant. Dans les locaux les œuvres sont bien visibles et mises en valeur, mais l’éclairage néon prévu pour un environnement utilisé comme salle de classe/lieu de vie ne donne au final pas un bon éclairage permettant de faire de belles photos (ou alors c’était moi qui était mauvais). Les différents plans sont écrasés et les détails ne ressortent pas.
Passage obligé (nous voulions aussi aller au musée des instruments de musique, mais il était fermé le lundi :( ). Le musée est dans un bâtiment de style art nouveau dessiné par Horta, un ancien magasin. Les expositions permanentes retracent l’histoire de la bande dessinée, les étapes de la fabrication d’une BD avec des planches originales, et les différents styles de BD. On peut regretter un absence d’évocation du manga et comics, si ce n’est une statue de Goku. Des expositions temporaires sur Peyo et Étienne Davodeau, et une un peu méta sur la création et rénovation du bâtiment, avec des planches de BDs situées dans le musée.
Lucky Luke, Jolly Jumper et réverbèreFusée, escalier et photographeDétail des verrières
Il y a un musée d’art contemporain au Luxembourg, que j’ai bien évidemment visité. Et il y avait une super expo (Eppur si muove, en partenariat avec le CNAM), mêlant art contemporain et sciences techniques. Plein d’œuvres sympa et absurdes.
Une des œuvres présentées dans la partie « technologie et application »
Cadran solaire avec canon de midi (la loupe concentre les rayons sur la mèche)
Outils d’un tourneur
Détail de l’architecture du musée
Hélice
Les vitraux sont en radiographie. Wim Delvoye, 2006
Chapelle gothique en métal, a steampunk wetdream
Vespa, vue éclatée
Eric Van Hove V12 Laraki Recréation des pièces d’un moteur de Mercedes par des artisans marocains
Un samedi passé à Metz, pour découvrir la ville. Nous sommes partis à 6 et clairement pas à l’aube. Nous avons commencé par une visite du centre George Pompidou, avec une superbe architecture moderne (mais sera-t-elle pérenne ?) et des expositions très sympa (phare, exposant des œuvres monumentales des réserves de Beaubourg, breath, assez wtf, Warhol Underground, sur les liens entre Andy et le Velvet, et Cosa Mentale, sur les rapports entre arts et télépathie (très crackpot).)
Façade du centre Pompidou
Façade arrière
Façade de côté (oui, profil, je vois que ce vous voulez dire)
J’y suis allé avec LL à l’occasion d’une exposition sur les Grands Singes. L’exposition abordait les différences morphologiques entre les différents grands singes, les divergences phylogénétiques, leurs aire de répartition, leurs relations sociales, leur usage des outils, la façon qu’avaient les chercheurs de les observer, leurs représentations dans la culture et les menaces que les humains font peser sur les autres grands singes. C’était donc assez complet et assez bien fait. LL en a profité pour me montrer le reste de la galerie (elle a fait un stage au MNHN et était donc assez opé sur la galerie)
Frais comme des gardons après une soirée en club (un club avec une piscine à ciel ouvert et une statue de dragon qui crachait du FEU !), après ~4h de siestes (suivant la théorie d’A. comme quoi l’optimisation du temps de sommeil lors d’un séjour à Berlin consistait en une sieste de 6 à 10h du matin pour être en forme pour le musée et une de 18 à 22 pour être en forme pour les clubs. Théorie qui sera réfutée par l’expérience), nous voici partis pour Dalhem, son université libre et ses musées réputés. Les collections des musées étaient effectivement magnifiques et fournies (et les photos à travers des vitres et sous faible éclairage rendent très mal. Grmbl. En plus j’ai oublié de photographier la légende de la plupart des items donc je suis incapable de dire d’où ils viennent). Nous n’avons pas eu le temps de tout faire.
photo prise au 19e siècle.
Roy J. Hanuse, Kwakiutl : Raven and salmon, 1991
Tapis de feutre kirghize
Calligraphie, Turquie, datée de 1315.
A Rock amidst the Torrential River, 1972, Huang Pimo, Cao Likan
Iron Pictures: Blossoming Plum and Chrisanthemeums (artiste inconnu, 17/19e siècle)
Kawase Hasui, Hinomisaki, Province Izumo (série Souvenirs de Voyage, troisième pièce) 1924. Cette série de tableaux était magnifique. Ils avaient un côté bd (la ligne claire certainement). Peut-être mes pièces préférées de tout le musée.
Second jour à Atlanta. Escalade de la Rocky Mountain le matin, brunch, puis passage au High museum. Tous les bâtiments que j’ai tenté d’explorer autour étaient trop bien fermés :(
La semaine dernière je suis allé au Musée du Quai Branly avec mon père.
On a vu l’exposition Tiki Pop qui parle de l’appropriation culturelle et du fantasme de la culture des iles dans l’imaginaire américain. C’était assez intéressant au niveau des pièces exposées et de l’explication des phases (romans d’aventure et Gauguin, films hollywoodiens, bar à thèmes, contre-coup, retour en vogue), mais c’est dommage que le concept même d’appropriation culturelle, qui est pourtant au centre de l’exposition, ne soit jamais présenté en lui-même (voici donc deux liens : en anglais et en français, pour aborder le sujet.
Nous avons aussi vu une petite partie des collections permanentes, parmi les pièces provenant d’Océanie, ainsi qu’une très petite exposition sur Les Femmes dans les affiches de propagande vietnamiennes (oui, c’est un thème précis).
Je suis retourné au musée pour faire des photos, j’ai visité l’exposition Tatoueurs, tatoués mais il y avait trop de monde donc je ne m’y suis pas attardé.