Archives de catégorie : Terre de France

Hauts de Seine

17 septembre 2017Paris, banlieue Sud.Déambulations urbaines, paris banlieue NordMachin

Quelques photos des Hauts de Seine prises à l’occasion des Journées du Patrimoine 2017.

Abri anti-aérien (Bois-Colombes, journées du patrimoine

Toilettes de l’abri de défense passive de Bois-Colombesines

Tour Saint-Jacques

12 septembre 2017Terre de Francebâtiments abandonnés, Déambulations urbaines, hauteurMachin

Visite de la tour Saint-Jacques, accessibles les vendredi, samedi et dimanches jusqu’à fin octobre. La vue du haut de la tour vaut vraiment le coup, et le vide intérieur sur plusieurs étages avec le bureau des météorologues non restauré aussi. C’était sympa d’avoir une visite guidée et d’avoir des infos sur les différents usages de la tour et son architecture., même si j’aurai bien voulu avoir plus d’indépendance pour pouvoir faire les photos que je voulais.

Ammoniaque d’époque (c’était pas la seul bouteille, y’avait une dizaine de produits chimiques laissés sur place depuis que la Tour a servi de station météorologique

Structure de la verrière qui fermait le bureau des météorologues. Les vitraux portent en alternance les lettres NF et TB entrelacées, pour Nicolas Flamel, mécène de l’église Saint-Jacques, et Théodore Ballu, maitre d’œuvre de la restauration sous Hausmann.

Paris Centre

11 septembre 2017Paris, banlieue Sud.C215, Déambulations urbaines, InvadersMachin

Promenade dans Paris après une visite de la tour Saint-Jacques.

Invaders bombe et quai des grands augustins

Paris Nord

10 septembre 2017Paris, banlieue Sud.Déambulations urbaines, paris banlieue NordMachin

Errances dans le nord de Paris et sa banlieue.

L’espérance est un trésor ! Enfin riches !

Tréfonds 55bis

8 septembre 2017Paris, banlieue Sud.psy, urban explorationMachin

Des photos de la même descente, qui étaient restés dans un autre dossier du portable.

Aérosol

7 septembre 2017Paris, banlieue Sud.Déambulations urbaines, gentrification, street artMachin

Friche de la SNCF transformée en lieu éphémère avec graphes autorisés, food-trucks et musée du street art, pour les 6 mois précédant sa démolition. J’ai pas visit la partie musée, payante, mais pour le reste j’ai été un peu déçu. Ça fait très propre sur soi, domestication du street art. C’était sympa de le voir une fois, mais c’est gentiment hipster, et c’est vraiment le showroom de la gentrification du quartier (typiquement, l’assistance sur place était majoritairement jeune, blanche et visiblement relativement aisée, je rentrais parfaitement dans la case.

Et en plus c’était un peu petit, ça n’avait pas le côté un peu foutraque de Ground Control ou autre lieu strictement sur le même créneau mais plus ambitieux.

Après c’était cool d’y aller entre amis, de faire un tour dedans et aller voir ailleurs si on y était :)