Une demi-journée sur une des îles du Frioul. Il ventait à mort, on était bien fatigué·e à la fin de Pomègues, on n’a pas eu la foi d’enchaîner sur Ratonneau, ce sera pour une prochaine fois.
Excellents bunkers.
[Edit 12/05 : merci à Maxime qui m’a fait remarqué que j’avais mis les même photos à la fin de ce post et du suivant, j’ai donc viré les trois dernières ici.]
Une demi-journée sur une des îles du Frioul. Il ventait à mort, on était bien fatigué·e à la fin de Pomègues, on n’a pas eu la foi d’enchaîner sur Ratonneau, ce sera pour une prochaine fois.
Musée dans l’enceinte de la Vieille Charité. On a juste fait un tour du bâtiment sans aller voir les expositions. Jolies lumières grâce aux murs ocres, belle architecture.
Pas très loin, la cathédrale de Sainte Marie-Majeure, ou la Major. Grands espaces mais qui rendent pas très bien en photo, mosaïques géométriques au sol.
Départ de Callelongue, montée au sommet de Marseilleveyre, suivi de la ligne de crête pour passer le col de la Selle, remontée sur le plateau de l’Homme mort, descente par le Grand Malvallon jusqu’à arriver à la mer au niveau de la calanque de Marseilleveyre, côte longée jusqu’à revenir à Callelongue. Le tout recommandé par Visorando.
Une complainte habituelle pour les lecteurices de ce blog : la lumière n’était pas très satisfaisante pour faire des photos (d’extérieur, les grottes on gérait nous même à la frontale). Mais en même temps, un grand ciel bleu et un soleil de plomb ça aurait probablement compliqué la randonnée. Il faut accepter les compromis, je suppose. Bref, du coup ça rend mal sur les photos mais les paysages était superbes, faisant penser à la Bretagne par endroit avec le ciel gris et le vent qui agitait la mer. Grande variété de points de vue, de formations rocheuses, de paysages de façon générale. Les grottes sur le chemin sont un bonus appréciable (il y avait aussi des voies d’escalade et des grimpeureuses qu’OC a regardé avec envie).
Nous sommes allés à la première de l’exposition « Dubuffet, un barbare en Europe » qui s’ouvrait au MUCEM. Je ne connaissais pas du tout l’œuvre et la philosophie de Dubuffet, c’était fort intéressant.
Pour résumer à grand traits, il s’intéresse à la pratique artistique non-influencée par l’histoire de l’Art et les conceptions communes de l’art, notamment tout l’héritage de la tradition européenne. Il réfute notamment la coupure entre cet art européen et tout le reste, rassemblé en « art primitif » à son époque. Il s’est du coup intéressé aux dessins d’enfants, aux œuvres d’aliéné·e·s, aux productions des artisan·e·s et aux traditions européen·ne·s pour les rapprocher des soi-disant arts primitifs et montrer les convergences entre eux.
Une semaine de vacances avec OC à Marseille. De l’urbex, une rando, du farniente, des balades en ville, un musée… la semaine a été bien remplie. Pas trop de soleil, mais c’était très bien néanmoins, j’ai bien envie de retourner dans cette ville. Une série d’articles pour partager une partie du millier de photos que j’ai prises durant le séjour.
Et on commence par :
Le Panier
Le quartier populaire bien cliché de Marseille, la réalité qui a inspiré Plus Belle la Vie, effectivement fort joli et couvert de street art et de petits cafés hispters (on a mangé dans un fort bon avec cependant une addition fort salée puisque pour deux personnes, ie une part de tarte, un toast à l’avocat et deux boissons, on en a eu pour 26e). On a principalement vu la rue des belles écuelles dedans, ça vaudrait le coup de revenir photographier les œuvres qui couvrent les murs plus extensivement.
Randonnée du samedi en compagnie d’un ami. Dans le pays basque, solide dénivelé (+900m), 13-14km, faite en 5h. Très beau temps et paysages impressionnants, très variés. Une passerelle construite en 1920 pour les besoins d’une scierie qui surplombe de façon impressionnante les gorges, notamment.
Randonnée dans une réserve naturelle sur les contreforts des Pyrénées. Micro-climat méditerranéen et sentier sur le versant sud, on a pris des couleurs.
Un weekend à Saint-Girons pour profiter des derniers jours de soleil avant l’apocalypse printanière que tou⋅te⋅s les Béarnais⋅e⋅s annoncent. J’en ai profité pour refaire mes stocks de thé et bière au marché.