Une semaine de vacances du côté du Grand Bornand, dans les Alpes. Entre moult jeux de société et repas à base de fromage et pomme de terre, une rando (avant les chutes de neige de la seconde partie du séjour).










Une semaine de vacances du côté du Grand Bornand, dans les Alpes. Entre moult jeux de société et repas à base de fromage et pomme de terre, une rando (avant les chutes de neige de la seconde partie du séjour).
Roman français de 2020. Martin est agent du parc national des Pyrénées, obsédé par la Nature et farouchement anti-chasse. Apolline est chasseuse à l’arc, fille d’un notable palois, et en partance pour la Namibie pour y chasser un lion classé animal problématique. Komuti est un éleveur himba, dont le troupeau a été décimé par le lion en question. Leurs trois vies vont se croiser dans une narration qui fait des allers retours temporels pour raconter en parallèle la chasse du lion par Komuti et Apolline, et l’identification d’Apolline par Martin à partir d’une photo de sa chasse postée sur les réseaux sociaux.
J’ai bien aimé. J’avais peur que ce soit assez cliché au début, mais la narration propose plusieurs fausses pistes, donne en parallèle le point de vue des trois personnages (et ce qu’ils s’imaginent les uns sur les autres) et les fait évoluer. L’empathie qu’on peut avoir pour le personnage de Martin au début s’évapore au fur et à mesure du roman. C’est écrit un peu comme une murder (et comme une tragédie, pour un sous-plot qu’on voit venir de loin mais qui marche bien dans le style He who fights monsters…).
Randonnée dans les Pyrénées Orientales au moment de la bascule entre « six mois de sécheresse » et « chutes de neige abondante. Résultat, on a eu des paysages très différents à la montée et à la descente. Nuit passée en cabane forestière non gardée, montée un peu plus haut le matin une fois les chutes de neige calmée, déjeuner dans un autre refuge, puis redescente.
Pour le dernier jour, visite des musées du Vatican et de la basilique saint-Pierre. Beaucoup d’œuvres de style et d’époques différentes, un peu overwhelming en terme de quantité de trucs artistiques. Très belle collection d’art contemporain sur la thématique de la foi, mais les photos rendaient très mal (les salles n’étaient pas toujours très éclairées).
Pas Rome à proprement parler, puisqu’on était à 1h de train, au bord de la MER. Super beau temps, on a bien profité de la plage (en manteau quand même, faut pas déconner, mais on a pris un petit coup de soleil). Reste de la villa de Néron et port de pêche, et les meilleures pizzas qu’on ait mangé du séjour.
Anciens abattoirs reconvertis en galerie d’art moderne. Je n’ai pas été très convaincu par les expos photos affichées, mais le lieu était beau, et il y avait un gros marché assez cool à côté, avec pas mal de street art.
Musée d’art antique hébergé dans une ancienne usine électrique. La juxtaposition des œuvres antiques et des machines donne une ambiance très cool, un peu à la American Gods.
Quatrième jour, principalement dans le Trastevere. Un peu de géocaching, des photos de street art, des nuées immenses d’étourneaux dans le parc Garibaldi (et un guitariste électrique qui vivait sa meilleure vie), quelques visites d’églises
Sainte Marie Majeure (et petit déjeuner hors de prix dans un café), Domus Aurea, le Colisée (et pizza), parc de la villa Celimontana, Casa Romane del Celio, Cirque Maxime, Jardin des Orangers, quartier juif (et artichauts à la juive). Une journée avec beaucoup de déambulations et beaucoup de sites antiques ou religieux.