L’église de la ville basse (je dis ville basse, mais c’est un gros village, en vrai)





Nous avons aussi visité la pharmacie de l’ancien hôtel-dieu, très bien préservée.




L’église de la ville basse (je dis ville basse, mais c’est un gros village, en vrai)
Nous avons aussi visité la pharmacie de l’ancien hôtel-dieu, très bien préservée.
(Ville des Linosaures)
[Il reste quelques chansons épargnée par la fonction « aperçu de 30 secondes et il vous faut un compte pour en avoir plus » sur Soundcloud, mais faut viser juste]
Le samedi après-midi, nous avions prévu une randonnée, mais le temps pleuviotant du matin et des risques d’orage annoncé (bien que jamais concrétisés) nous ont fait nous rabattre sur la visite de Saint-Lizier, pas trop loin et plus propice à s’abriter en cas d’orage que la rase campagne.
Le village est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, et est effectivement fort joli. Deux églises, une belle vue sur le piémont, de petites ruelles pavées.
La cathédrale de la Sède est l’église de la ville haute de Saint-Lizier. Elle est notable pour ses peintures du XVIIe retrouvées sous celle du XIXe à l’occasion d’une restauration des boiseries, et restaurées assez admirablement. Des fragments encore plus anciens sont visibles derrières les boiseries de la nef, équipées d’un système permettant de les ouvrir lors de la restauration.
Le lieu abritait de plus dans le cadre du festival In Situ
[je voulais mettre de la musique sur cet article, mais j’ai l’impression que y’a plus rien comme bonne solution pour intégrer un lecteur musical que les gens peuvent lancer sans compte et sans téléverser et héberger la chanson toi-même. Où sont passés les grooveshark de notre enfance ? Bref, vous pouvez aller écouter Cherry Lipstick d’Adam Naas sur votre plate-forme privative favorite]
Weekend à Saint-Girons, où j’ai été accueilli par Léa. Une promenade de nuit le premier jour dont vous trouverez les photos plus bas (assez peu de photos réussies, les lampes au sodium qui baignent de loin en loin la ville n’étant pas idéales). Passage dans le centre-ville, présentation par Léa d’un kiosque à musique à plafond parabolique (dedans il y a un écho conséquent, inaudible dès qu’on est à l’extérieur du kiosque).
Le lendemain, marché du samedi matin (l’institution de Saint-Girons). C’était assez cool comme marché effectivement. On y a fait le plein de légumes, fromages, thé et bières.
La ville n’est pas très grande, jolie, en cours de contre-gentrification (on voit les traces d’une gloire bourgeoise passée, liée aux papeteries qui ont fermé et à l’ancienne gare, mais la population actuelle semble plus pauvre, la ville un peu en déshérence), fortement hippie, ça donne une ambiance sympa.
Comédie française de 2018. Jean Dujardin joue un peu paumé qui croit totalement au discours néolibéral. Il cherche l’idée que le rendra « immensément riche » et ne fait pas grand chose d’autre. N’ayant plus aucune ressource, il rejoint sa sœur qui dirige le centre Emmaüs de Lescar, dans les environs de Pau. Là, il tente de vendre l’idée qu’il a enfin trouvée à divers compagnons travaillant dans le centre.
Ça se regarde, mais c’est pas le film du siècle. Y’a des longueurs, des scènes où on sait pas trop où elles vont, des moments pas très subtils. Y’a des trucs cools aussi, mais on aurait voulu que le film élabore plus dessus. Par exemple les compagnons qui jouent de la musique de nuit dans le centre endormi. Le film s’en sert juste pour marquer le passage du temps, mais ça donne parmi les scènes les plus jolies. Les péripéties du voyage en Bulgarie sont aussi parmi les moment les plus sympa du film, mais totalement annexe à son propos : la limousine bricolée, la visite du monument abandonné (aparté : raaaah, j’ai tellement envie d’aller l’explorer), la dispersion des cendres sur les flammes jumelles… Bref, tout les moments où le film fait un peu de la poésie sont cools, mais ils sont pas vraiment reliés au reste du film. Je pense que j’aurai préféré un documentaire un peu poétique sur le centre Emmaüs, dans l’absolu.
Ça faisait quelques temps que je n’avais pas pris de photos, et encore plus de temps que je n’avais pas fait d’exploration. Deux choses rattrapées par ce dimanche pluvieux, avec l’exploration de cette école de communication abandonnée, sise dans une villa bourgeoise du Sud-Ouest de la France. Beaucoup de photos ratées : ça faisait trop longtemps que je n’avais pas photographié dans la pénombre, j’avais oublié qu’il faut prendre des appuis stables pour éviter les photos floues et grainées de partout. Bon, y’en avait quand même quelques unes de récupérables. Le bâtiment était beau, plusieurs étages, des dépendances derrière que je n’ai pas pris le temps d’explorer en raison de la pluie. Très peu de tags à l’intérieur, ce qui limite un peu l’intérêt photographique il faut le dire, même si l’architecture offre déjà pas mal de beaux éléments à découvrir.
Une deuxième série de photos de Trondheim.
5 jours en Norvège (j’y suis allé pour le travail, mais comme c’était la première fois que je mettais les pieds en Scandinavie, je me suis arrangé pour passer le weekend sur place en plus). J’ai eu de la chance, j’ai pu être hébergé sur mes deux jours de loisirs par la famille de p4bl0, et bénéficier de leur expérience du pays et de la ville, de leur regard de français sur le pays et de leur voiture pour visiter les environs.
Que dire ? C’est joli mais c’est froid. Y’a pas grand monde qui habite dans le pays, en dehors des limites de la ville ça devient très vite de la forêt sans aucune présence humaine. Le centre-ville avec les maisons en bois est très joli (et calme). On a l’air d’y avoir une bonne qualité de vie.
EDIT 07/2021 : cet article a malheureusement été victime d’un crash de serveur ; j’ai perdu toutes les photos du blog, et j’ai réalisé à cette occasion que je n’avais pas de sauvegarde autres de certaines, notamment celles fournis par les autres contributeurices.
Un autre article invité, cette fois-ci de p4bl0 !
En passant par Stavenger lors d’un périple en Norvège, j’ai remarqué que le street art de cette ville a des couleurs militantes, ou du moins qu’il se laisse volontiers interpréter comme tel. Quelques photos.
Randonnée avec mes colocs, avec bivouac au lac du Montagnon d’Iseye. Marche d’approche en solitaire, arrivée vers 20h, dans la brume, réveil matinal pour profiter du lever de soleil sur les montagnes.
Comme je l’ai déjà souligné, il pleut beaucoup à Pau. Bon, l’avantage c’est que ça limite les canicules et que ça donne de jolies photos post-ondées.