Roman post-apocalyptique de 2009. Dans le grand nord russe, on suit Makepeace, dernière survivante de la colonie fondée dans un futur proche par des Quakers américains voulant revenir à un mode de vie plus rural juste avant l’effondrement. Makepeace va voyager à travers la Sibérie, librement puis dans un convoi d’esclaves, visiter une cité irradiée, voir voler et s’écraser les derniers avions.
C’était pas un mauvais roman post-apo, mais c’était pas d’une originalité folle non plus. Le fait d’avoir un environnement rural est moins fréquent que de l’urbain, mais dans le post-apo russe (Le Lac par exemple) j’ai déjà lu des trucs similaires.