L’Apocalypse est notre chance, de Sylvie Coquart-Morel et Sophie Maurer

Feuilleton radiophonique de France Culture. Laura est doctorante en sociologie, approchant de la fin de sa thèse sur les institutions financières, quand elle découvre son directeur de thèse mort dans son bureau. Elle va découvrir peu à peu que son directeur était impliqué dans un groupe d’action radicale en rapport avec ses sujets de recherche, ce qui faisait de lui une personne d’intérêt pour les services de l’État. Laura va tenter de mener de front sa charge d’enseignement, le bouclage de sa thèse, et une enquête sur les activités de son directeur décédé.

Ça commençait bien, le milieu de l’université française était rendu de façon intéressante. La forme des épisodes étaient intéressante, avec les extraits du journal intime du directeur en fin d’épisode, qui rajoutait un point de vue différent et assez théorique. Mais l’histoire se délite peu à peu : les relations humaines deviennent moins crédibles, les gens font de la merde ou changent brutalement d’avis juste pour que l’histoire avance. C’est dommage parce qu’il y avait un gros potentiel, mais perdu en cours de route.

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