La vie d’une jeune fille asociale dans une petite ville de campagne anglaise dans les années 60s. C’est bien écrit, cool à lire et ça un petit côté « chroniques de la vie ordinaire » à la Jane Austen assez sympa, par contre je comprends toujours pas pourquoi Graham Joyce est publié dans une collection SF/fantastique/fantasy plutôt qu’en littérature blanche.
Archives par mot-clé : littérature blanche
Les Cerfs-Volants de Kaboul de Khaled Hosseini
Un écrivain raconte sa jeunesse à Kaboul puis son exil aux États-Unis, ses relations avec son père et avec son serviteur et meilleur ami. Le contexte est intéressant (je ne connaissais strictement rien à la culture afghane avant et pas grand chose de plus maintenant), mais l’histoire est très convenue. Il y a des méchants très méchants, des innocents qui se font blesser ou tuer, et un narrateur qui, s’il est lâche et doit vivre avec le poids de cette lâcheté, est cependant indiscutablement quelqu’un de bien, du côté de qui il faut être.
La Condition humaine, de Malraux
Je l’avais déjà lu il y a longtemps, mais je n’en avais pas retenu grand chose de plus que la scène d’ouverture. Recommandé par un ami communiste pour la description de la guerre de Chine. Je n’avais pas du tout en tête le fait que la Révolution avait été menée par la double composante Parti Communiste/Komintuang, avec tous les conflits internes que ça a engendré. Le livre décrit vraiment bien tout ça.