Du street-art, notamment du pas sur Rivoli, le début de la promenade avant que l’on lâche les vélos pour marcher.
Du street-art, notamment du pas sur Rivoli, le début de la promenade avant que l’on lâche les vélos pour marcher.
Le soir tombait quand nous atteignîmes la Concorde. Nous avons commencé à rebrousser chemin en passant par les Tuileries. Le soleil couchant rendait roses les façades du Louvre. La grande roue à contre-jour se découpait en ombre chinoise. Nous fûmes conduits hors du parc par un gardien, et nous avons continué notre promenade par les quais rive gauche.
Pas mal d’hôtels de luxe et des mosaïques sous les arcades devant. Des tarifs prohibitifs mais de jolis détails.
En plus du street-art, il faut bien reconnaitre que l’architecture bourgeoise voire noble voire royale voire impériale du quartier rend plutôt bien en photo (même si ça ne m’enlèvera jamais mon amour du béton brut).
Il faisait beau temps samedi et je me suis offert un nouvel objectif d’appareil photo (une focale fixe 50mm, f/1.8), du coup je suis allé me promener avec un ami, on a remonté la rue de Rivoli tout du long, plus un passage par les Tuileries. C’était fort bien et j’ai pu faire plein de photos de street art et de bâtiments bourgeois. On commence par les invaders photographiés le long du trajet.
Petite descente tranquille pour une soirée crêpes avec des quantités de nourriture gargantuesques. Pas beaucoup de photos vu qu’on n’a pas bougé.
Par ailleurs, j’étais allé voir des audiences correctionnelles au tribunal, parce que c’est intéressant de connaître le fonctionnement de la justice, et l’architecture du Palais de Justice est assez flamboyante, notamment le grand escalier qui est franchement pas avare en symbolique.
Sinon les audiences en soi étaient intéressantes, on a vu un truc qui ressemblait à une arnaque à la taxe d’apprentissage (on a pris en cours, c’était pas ultra clair), une histoire de violences domestiques qui faisait tristement exemple littéral du phénomène (avec le mec qui n’a même pas pris la peine de se déplacer à l’audience et la meuf qui dit « non mais j’ai exagéré en portant plainte, je veux que tout redevienne comme avant »), et une histoire de trafic de stupéfiants. Après un long temps de délibération on a eu les sentences des affaires 2 et 3 : prison avec sursis obligation de traitement (pour son alcoolisme) pour le mec des violences conjugales, et prison ferme avec mandat de dépôt pour le trafic de stupéfiants (y’avait récidive). Ça c’était un retour brutal à la réalité parce qu’après une demi-heure de délibéré où nous on s’ennuyait dans la salle, les juges sont revenus, ont prononcé la sentence et là bim, deux gendarmes s’avancent, passent les menottes au mec qui a passé la demi-heure dans la salle avec nous à s’ennuyer tout autant, et bim tout d’un coup il est plus en liberté. Là t’es un peut « waaaaaat » et vu que les audiences étaient terminées pour la journées dans cette salle et nous un peu terrifiés par ce qu’il venait de se produire, on s’est barrés sans demander notre reste.
Diverses photos prises à travers Paris. De l’architecture et du street-art.
(la version 1 ayant été photographiée au même endroit en avril dernier)
Entretien pour le boulot dans le quartier. Il faisait beau donc je me suis un peu baladé autour après.
Pas mal de #backtothestreet, et un peu d’autre street-art.