Archives de catégorie : Paris, banlieue Sud.

Douanes de Pantin

Une petite virée du dimanche avec Thomas, Gab et p4bl0. Ca permet d’interconnecter les communautés et de faire de jolies photos.
Sinon j’ai vu L’Ecume des Jours (Duris joue bien, Tautou joue mal, la fin a une esthétique très Nouvelle Vague, c’est un bon film, il faut aller le voir) et The Grandmaster (tout le monde joue bien, c’est un Wong-Kar Wai, faut aller le voir), j’ai des livres en retard à rendre à la bibliothèque, le service des Finances Publiques est géré par des idiots (j’ai reçu il y a une semaine une lettre soi disant envoyé le 21/01 et à payer sous trente jours, ils n’acceptent que les virements internationaux, etc…)

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Beetle
Beetle

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Hurry up to exist.
Hurry up to exist.
tag Inutile
tag Inutile
Bang bang, he shot me down
Bang bang, he shot me down
Red Star
Red Star

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Through the glass, looking
Through the glass, looking
Your precious moon
Your precious moon

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Je verrais bien une explosion dans le fond aussi.

RATP, bande de saletés

Bon, j’ai commencé mon stage au dans un institut de recherche français aujourd’hui. En conséquence de quoi, je me renseigne sur comment aller sur mon lieu de travail. Joie, le 295 relie Montrouge et mon institut. Ah, c’est en zone 3. Bon, bah on va aller acheter des tickets, en bon citoyen. Je sors de chez moi, je vais à la nouvelle station Mairie de Montrouge. Ah, elle est pas ouverte. Elle était prévue pour fin 2012, mais tant pis. Je prends un Vélib’, direction Porte d’Orléans. La machine ne vend pas de tickets zone 2-3. Je vais voir le guichetier, qui semble insensible à mon sourire radieux et grommelle que ça existe pas et que je dois forcément avoir la zone 1 dedans. Soit. Je précise bien que c’est pour prendre le bus 295. J’achète mon carnet. 20 euros, ouch. Retour à Montrouge, intermède nuit.
Le rideau s’ouvre, c’est le matin. Je suis tout fringant à l’arrêt du 295. Le bus arrive. Je rentre dedans, y’a un contrôleur. Je suis bien content d’être un bon citoyen qui paye ses tickets ! Je mets le ticket dans la machine. Rien. J’explique que j’ai acheté le ticket hier en le tendant au contrôleur. Il le regarde et me dit que sur les bus ces tickets ne marchent pas. Faut des T+. QUOI ? J’AI CLAQUÉ 20€ POUR RIEN À CAUSE DE L’AUTRE CONNARD AIMABLE COMME UNE PORTE DE PRISON ?
Je cherche mon portefeuille pour prendre mes T+. J’ai pas mon portefeuille. Bon, bah je vais prendre un ticket au conducteur. J’ai pas d’argent sur moi. AH. Je dis ça au contrôleur en lui disant que du coup je vais descendre à l’arrêt suivant et repartir à pied chez moi. Le mec me dit « normalement c’est 45€ euros d’amende monsieur ». ET VOIES DE FAIT SUR CONTRÔLEUR ÇA VA CHERCHER DANS LES COMBIEN, DUCON ? Bon, je me retiens de le dire parce que j’ai pas envie d’avoir l’amende, mais le dire comme s’il me faisait une faveur alors qu’il voit très bien que c’est pas une fraude mais un de ses collègues qui a chié dans la colle, je trouve ça un peu fort. Bref, je descends, je retourne chez moi, je récupère mon portefeuille, je repars.
Y’a des journées qui commencent mal. Mais le stage c’était sympa. Et je me déplacerai en vélo désormais. Accessoirement si quelqu’un veut racheter un carnet de tickets Paris / Fontenay aux Roses, ça m’arrangerait (20€80).

Last tango in Paris.

Mon dernier weekend parisien avant longtemps vient de s’écouler. Mais quel weekend ce fut ! Une apothéose urbaine, un élixir de parisianité.

Je n’ai pas pu voir tout le monde ni même faire tout ce que j’aurais voulu avec celleux que j’ai vu (trois jours c’est court, horriblement court), mais le peu fait fut mémorable.
Soirée en famille avec cousin-e-s, sushis et champagne, suivie d’un concert de toute beauté en K-Fêt et d’un passage aux platines avec Pévégé et Antoine à l’inté des bios (It’s a trap!) : ce fut le premier jour
Il y eut une nuit, il y eut un midi : passage chez Gibert pour renouveler le stock de romans de science-fiction à emporter, engraissage du lecteur Mp3 selon la même logique, puis diner au chinois canonique (aussi appelé La Muraille du Phénix par les non-normaliens) avec Pévégé et sa sœur, suivi de la Nuit Blanche : après quelques kilomètres de marche à pied peu concluants, nous sommes rejoints par Marie et Antoine, et nous allons assister aux concerts donnés dans la gare d’Austerlitz, sur les quais. Puis nous montons au dernier étage de la tour Zamansky à Jussieu, pour un panorama époustouflant sur Paris. Conclusion paisible en K-Fêt autour d’un kouign amann et d’un pastis, puis dans la thurne d’Alex (généreusement prêtée à votre serviteur pour le weekend) avec du whisky écossais, Archive et Sévan (It’s a flic!). Ce fut le second jour.
Il y eu une nuit, il y eut une alarme de réveil : brunch en Courô (I love the smell of scrambled eggs in the morning. Smelled like bliss), goûter brioche/chocolat avec Snoopy et Sévan et les grotas, puis retour à la maison, empaquetage, adieux à la famille et métro vers la gare de Lyon. Ce fut le troisième jour.

Et tous les regrets de partir qui n’étaient pas là avant sont apparus.

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