C’est labyrinthique, ça tombe en ruine par endroits, y’a des escaliers absurdes partout et des couloirs exigus et avec de très hauts plafonds, y’a des sorties secrètes et des planches de papillons qui tombent en poussière. It’s a Machin’s delight.






C’est labyrinthique, ça tombe en ruine par endroits, y’a des escaliers absurdes partout et des couloirs exigus et avec de très hauts plafonds, y’a des sorties secrètes et des planches de papillons qui tombent en poussière. It’s a Machin’s delight.
J’en ai vu d’autres à Ivry mais depuis un bus, c’était pas fou pour les prendre en photo.
Visiblement c’est la mode le sous-verre. C’est quand même un peu bourgeois.
(d’un coup d’éditorial creux et populiste bien placé entre les deux yeux…)
Cette année, je n’ai pas gagné la Nuit Blanche. Trop fatigué. J’ai pas vu grand chose mais c’était une chouette soirée quand même.
J’ai eu une idée de performance à monter pour la prochaine Nuit Blanche : engager une centaine de figurants pour faire la queue devant une porte, avec une présentation de l’œuvre en termes vagues qui ne laisse pas comprendre que la queue elle même est l’œuvre. Laisser rentrer un figurant de temps à autre (ça fait avancer epsilonesquement la queue et ça leur permet de prendre un thé dans le bâtiment.
Éventuellement, choisir une seule des personnes qui vient faire la queue, la laisser rentrer et lui révéler la vérité et lui dire d’en faire ce qu’elle veut.
Quelques photos de ma dernière alma mater en date. (en vrai, je pense qu’aussi bien que je me sente dans une autre institution, l’ENS restera toujours celle que je considérerai comme mon institution d’élection). La bibliothèque est jolie aussi (avec des tables absurdes aux sièges intégrés) mais je n’ai pas eu l’occasion de prendre des photos.
Visite du parc avec ma promo à nouveau pour observer les aspects sociaux, écologiques et économiques de la gestion du parc ; beaucoup de marche. Parc avec des environnements très différents (en même temps, 400Ha, y’a la place de).