Dans mon stage, je dois chercher des informations sur [CENSURÉ]. Pour ça, j’ai besoin d’aller sur les sites Internet de pleins d’instituts de recherche à travers toute l’Europe. Ils n’ont pas tous une version anglaise, mais étonnamment ce n’est pas un problème. Au final tous les langages européens se ressemblent un peu à l’écrit. Les structures grammaticales sont similaires par grands groupes, les mots ont des radicaux communs. Français anglais et espagnol sont maîtrisé, l’italien c’est du français (sérieusement, je lis aussi bien que l’anglais), le portugais c’est de l’espagnol abatardi, l’allemand c’est tranquille quand on sait que die et der commencent des groupes nominaux, le polonais et le hongrois ça s’infère de l’allemand, le finnois et le norvégien c’est un peu plus chaud mais vu que je cherche toujours le même genre d’info assez basique j’arrive à comprendre.
Bref, je serais absolument incapable de dire une phrase en serbocroate mais à lire ça va.
Sérieux, le finnois et le hongrois aussi ? C’est marrant, ce ne sont même pas des langues indo-européennes. Cela doit prouver que le scientifique est une langue en soi.
Vu que la science se déroule autour d’un vocabulaire quand même grandement de bases greco-romains (grecs-latines?), le recoupement se comprend – literally!
gréco-latines.
« Si c’est sur un site en finnois c’est du finnois ! »
Théorie Numérico-Linguistique, auteur inconnu.
Je confirme, le Norvégien, si t’as des bases de francais/anglais/allemand et que t’as une idée du contexte, tu le lis assez facilement! Et heureusement pour moi…!