Mon dernier weekend parisien avant longtemps vient de s’écouler. Mais quel weekend ce fut ! Une apothéose urbaine, un élixir de parisianité.
Je n’ai pas pu voir tout le monde ni même faire tout ce que j’aurais voulu avec celleux que j’ai vu (trois jours c’est court, horriblement court), mais le peu fait fut mémorable.
Soirée en famille avec cousin-e-s, sushis et champagne, suivie d’un concert de toute beauté en K-Fêt et d’un passage aux platines avec Pévégé et Antoine à l’inté des bios (It’s a trap!) : ce fut le premier jour
Il y eut une nuit, il y eut un midi : passage chez Gibert pour renouveler le stock de romans de science-fiction à emporter, engraissage du lecteur Mp3 selon la même logique, puis diner au chinois canonique (aussi appelé La Muraille du Phénix par les non-normaliens) avec Pévégé et sa sœur, suivi de la Nuit Blanche : après quelques kilomètres de marche à pied peu concluants, nous sommes rejoints par Marie et Antoine, et nous allons assister aux concerts donnés dans la gare d’Austerlitz, sur les quais. Puis nous montons au dernier étage de la tour Zamansky à Jussieu, pour un panorama époustouflant sur Paris. Conclusion paisible en K-Fêt autour d’un kouign amann et d’un pastis, puis dans la thurne d’Alex (généreusement prêtée à votre serviteur pour le weekend) avec du whisky écossais, Archive et Sévan (It’s a flic!). Ce fut le second jour.
Il y eu une nuit, il y eut une alarme de réveil : brunch en Courô (I love the smell of scrambled eggs in the morning. Smelled like bliss), goûter brioche/chocolat avec Snoopy et Sévan et les grotas, puis retour à la maison, empaquetage, adieux à la famille et métro vers la gare de Lyon. Ce fut le troisième jour.
Et tous les regrets de partir qui n’étaient pas là avant sont apparus.
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