Une semaine de vacances à Naples début août, pour profiter de la dolce vita italienne. Au programme, baignade, visite d’Herculanum, montée en haut du Vésuve, visite de la ville et de ses musées, scopa, mots fléchés. C’était un chouette séjour à deux.
Les rues
Galerie Umberto IPlafond de la galerie Umberto IÉglise del Gesù NuovoOrgue de l’église del Gesù NuovoLungomare à l’heure doréeLungomare à l’heure doréeFront de mer au crépusculeLungomare au crépuscule
Herculanum
MosaïqueDétail d’un frontonMosaïque au solJupiter OtricoliAphrodite triomphanteBas relief de Pan sur un sarcophageMosaïque de squeletteÉtagère de vasesPoisson-scorpion, Vincent Gemito, 1909Toit du musée d’art moderneToit du musée d’art moderne et vue sur les quartiers hautsDepuis le VésuveÉglise Girolamini
Pour le dernier jour, visite des musées du Vatican et de la basilique saint-Pierre. Beaucoup d’œuvres de style et d’époques différentes, un peu overwhelming en terme de quantité de trucs artistiques. Très belle collection d’art contemporain sur la thématique de la foi, mais les photos rendaient très mal (les salles n’étaient pas toujours très éclairées).
SarcophageStatue d’AnubisChérubins et crocodilePaon récupéré du mémorial d’HadrienPlafond, musée du VaticanPlafond, musée du VaticanPlafond toujours, galerie des cartesArmoiries papales, galerie des cartesPetite mosaïque de solDétail d’un plafond, le triomphe de la chrétienté sur le paganismeDétail d’un voletYet another plafond#passionPlafondDescente de croixEscalier de la sortie
Pas Rome à proprement parler, puisqu’on était à 1h de train, au bord de la MER. Super beau temps, on a bien profité de la plage (en manteau quand même, faut pas déconner, mais on a pris un petit coup de soleil). Reste de la villa de Néron et port de pêche, et les meilleures pizzas qu’on ait mangé du séjour.
DiguePlage et nuagesCorbeau en arrivéeDigue et ruines de la villa de NéronÉcumeTentaculesGoéland juvénileEn volTrois oiseaux et un bateau Jetée Pêcheurs et vagues
Anciens abattoirs reconvertis en galerie d’art moderne. Je n’ai pas été très convaincu par les expos photos affichées, mais le lieu était beau, et il y avait un gros marché assez cool à côté, avec pas mal de street art.
Pont Settimia SpizzichinoBâtiment visible depuis la centrale MontemartiniFresque muraleToits de l’abattoirIntérieur d’un des abattoirs pas encore réaménagéStalle pel bestiame domitoBâtiments et gazomètreMarché et ancien bâtiment de l’abattoirMarché et gazomètreGhostbustersSpiderman, spiderman
Musée d’art antique hébergé dans une ancienne usine électrique. La juxtaposition des œuvres antiques et des machines donne une ambiance très cool, un peu à la American Gods.
Tecnomasio Italiano Brown BoveriMosaïque trouvée dans des thermes, 1er siècle avJC
Quatrième jour, principalement dans le Trastevere. Un peu de géocaching, des photos de street art, des nuées immenses d’étourneaux dans le parc Garibaldi (et un guitariste électrique qui vivait sa meilleure vie), quelques visites d’églises
Restes du temple d’Apollon SosianusDétail des restes du temple d’ApollonÉcole Goffredo Mameli dans le TrastevereCollage (Liars)Collage (coronavirus)Détail de la façade de l’église Sainte-Marie du TrastevereSainte-Marie du Trastevere, détail du plafondSainte-Marie du Trastevere, VitrauxVue sur Rome depuis la voie San Pietro in MontorioFontaine de l’Acqua Paola et coucher de soleilCoucher de soleil et arbres à contrejour
Sainte Marie Majeure (et petit déjeuner hors de prix dans un café), Domus Aurea, le Colisée (et pizza), parc de la villa Celimontana, Casa Romane del Celio, Cirque Maxime, Jardin des Orangers, quartier juif (et artichauts à la juive). Une journée avec beaucoup de déambulations et beaucoup de sites antiques ou religieux.
Intérieur de Sainte Marie MajeurePlafond de Sainte Marie MajeureUn de mes pet peeves : une sculpture d’église dans une église (et elle est même tenue par des statues alors que la mini-église comporte des mini-statues !)Autel de la Patrie vu de l’arrièreColiséeColisée, partie briséeColisée, vue en coupeColisée toujoursBasilica Santi Giovanni e PaoloClivo del ScauroJardin des OrangersDôme de Santa Maria in Campitelli vu depuis le portique d’Octave
Sept jours de vacances à Rome avec OC. Première fois dans la ville pour moi, seconde pour elle. On a eu des conditions météos assez idéales pour la mi-novembre. Première nuit du côté du parc Borghese, puis on a bougé dans un autre hébergement du côté de la gare de Termini, plus centrale pour se déplacer.
Quelles impressions sur la ville ? Déjà, c’est large, espacé, avec des espaces de nature préservés. La construction progressive sur des milliers d’années et sur une zone étendue depuis le début donne un style très particulier, avec à la fois une densité incroyable de vestiges historiques, de couches de bâtiments sur un même site, et en même temps de la place pour des rues larges, des parcs, de la nature. La construction sur une zone avec des collines donne aussi de nombreuses perspectives et points de vue sur la ville. Personnellement j’ai énormément aimé cette forme urbaine.
Une des entrées du parc BorgheseVolière dans le parc BorgheseGaleria Nazionale d’Arte Moderna Galeria Nazionale d’Arte Moderna, détailPiazza del PopoloTrois bâtiment dans le parc BorgheseGelateriaPanthéonDétail du PanthéonFontaine de Trévise et touristesTunnel
Une semaine passée dans les Dolomites, dans la province de Belluno (en Vénétie), pas loin de la frontière avec l’Autriche. On était installé au village de Falcade, très touristique en été et en hiver, mais beaucoup moins hors saison, ici en mai. Par contre, on n’avait pas prévu qu’il resterait autant de neige, ce qui a contraint l’altitude des randonnées. Beaucoup de randonnées connues des Dolomites sont proches de la ville de Cortina d’Ampezzo, qui était bien trop chère pour s’y installer. On a donc préféré s’en éloigner quitte à faire davantage de voiture (c’était très pratique d’en avoir une) et d’autres randonnées tout aussi bien.
J’ai trouvé les paysages vraiment sublimes. Les dolomites sont une formation calcaire, et l’érosion y a fait de très beaux reliefs, très diversifiés. Le village où on créchait était à 1700m d’altitude, au milieu des montagnes, le petit pied. On a tiqué sur certains panneaux et autres écrits, et sur ce qu’on entendait, qui parfois ressemblait à de l’italien sans en être. C’est d’une part parce qu’à Cortina d’Ampezzo et dans les vallées voisines beaucoup de personnes parlent le ladin, qui est une langue rhéto-romane parlée dans quelques vallées des Dolomites, et d’autre part à Falcade et alentour les gens parlent un dialecte local, en plus de l’italien (cet article de 2004 détaille le plurilinguisme en Italie). Une autre chose marquante c’est que tout tournait autour du bois. Il y a toujours un bruit de tronçonneuse en fond, toutes les maisons sont en bois, chacune a un tas de bois de chauffage arrangé de façon particulièrement méticuleuse, on voit des coupes franches dans les conifères partout dans la montagne, et l’artisanat du bois est très présent. On a d’ailleurs été dans une boutique qui était clairement celle de Geppetto.
FalcadeArrangement de bois de qualitéÉglise, immeuble et campanile à Cortina d’Ampezzo
On a beaucoup randonné mais aussi profité de la cuisine locale, notamment des gnocchis, des tomes fondues panées et des champignons. Les randonnées en question :
Le lac de Sorapis, à 1928m d’altitude. Ça nous a bien pris 5h aller-retour, il y a 600m de dénivelé. C’est très beau. On était en face nord, il y a eu de la neige assez vite et le lac était gelé mais c’était faisable sans équipement, notamment parce que beaucoup de gens étaient passés avant nous.
Vue depuis le chemin vers le lac de SorapisVue depuis le lacLe lac de Sorapis, geléUn pli de toute beauté
Une rando sur 2 jours en partance de Garès et pour aller voir le Focobon, le massif stylé du coin, que nous avait conseillée la personne de l’office de tourisme. On a fait deux fois 400m de dénivelé et 1h30 de montée donc c’était très tranquille. On a vu moult marmottes !
Lever de soleil sur les montagnes
Vue depuis Forcella StiaForcella Stia
Les Cinque Torri. Même en passant au sud, en partant du refuge du Passo di Giau, on a dû s’arrêter à cause de la neige, au refuge d’Averau . Mais c’était magnifique, avec une alternance de paysages très différents et on a vu, de loin, les Cinque Torri. La rando va de 2200 à 2400m, sans passage difficile. On a aussi vu moult marmottes, et un sizerin flammé (c’est cette petite merveille) !
En haut le refuge d’Averau où on s’est arrêté. Les Cinque Torri sont de l’autre côtéDébut de rando, dans les caillouxPierrierPause déjeunerUne des tours des Cinque Torri, au loin