(Oui, c’est la saison des seconds passages dans des endroits précédemment visités)
Week-end à Rouen avec des ami⋅e⋅s. Nous avons commencé par aller à Honfleur pour aller voir la mer et profiter du timide soleil.










(Oui, c’est la saison des seconds passages dans des endroits précédemment visités)
Week-end à Rouen avec des ami⋅e⋅s. Nous avons commencé par aller à Honfleur pour aller voir la mer et profiter du timide soleil.
Cinq jours à Édimbourg. J’y étais pour le travail, j’ai essentiellement vu l’intérieur de centres de conférence. Le dernier jour et le matin avant le début des conférences j’ai pu me promener un peu et faire quelques photos (le soir il faisait nuit à 16h alors c’était pas la peine d’espérer). C’était sympa, j’étais content de revoir la ville, mais j’avais oublié ce qu’il y faisait froid (enfin d’un hiver sur l’autre j’oublie le froid même quand je reste en France et je redécouvre ça avec horreur chaque année). J’ai bu du whisky, mangé de la pub food (quelle horreur), échappé au haggis pour cause de végétarisme, passé une soirée avec une amie qui fait sa thèse sur place et que j’avais pas vue depuis 3 ans et cassé ma liseuse. Une semaine bien remplie et qui m’a laissé un peu crevé.
Raclette du côté de Charenton.
Une novella se déroulant dans un Paris alternatif en 1950. Un Paris isolé du reste du monde par les forces d’Occupation nazies, qui veulent à tout prix éviter que les manifestations incarnés des œuvres surréalistes qui ont envahi Paris en 41 ne contaminent le reste du monde… C’est court mais c’est dense à lire en anglais parce que la prose de Miéville n’est pas aisée et que c’est bourré de références surréalistes. C’est sympa et carrément original.
Promenade avec OC dans Biarritz pour retrouver du street-art aperçu en passant en bus le premier jour. C’était assez pluvieux et sombre mais on a fini par trouver ce que l’on cherchait. On n’est pas rentrés dans l’entrepôt lui-même parce que ça avait pas l’air ultra-stable.