Série Netflix sur une super-héroïne qui travaille comme détective privée. Elle dispose de super-force mais s’en sert de façon discrète, parce que sa tentative précédente de se mettre en lumière en tant que super-héroïne a attiré sur elle l’attention d’un super-vilain capable de contrôler les gens (David Tennant, impérial), ce qui lui a laissé pas mal de traumatismes. Évidemment, le vilain est de retour. La série est cool notamment parce qu’elle inverse pas mal de tropes genrés des films noirs et parle de traumatismes. Elle a aussi le côté bien filmé et « squalor » des séries Marvel/Hell’s Kitchen, qui est assez sympa à regarder.
Saison 2
Malheureusement la saison 2 n’est pas du tout au niveau de la première, au point qu’on a arrêté le visionnage en cours de saison parce qu’on s’ennuyait fortement. Mention spéciale pour le trop archi-éculé des figures mystérieuses qui ressortent du passé de l’héroïne alors qu’on n’en avait pas du tout entendu parler dans la saison 1.
2 réflexions sur « Jessica Jones, de Melissa Rosenberg »