Saison 1 et 2.
À sa mort, Eleonor Shellstrop se retrouve dans une des nombreuses version du paradis, avec 322 autres personnes méritantes. Sauf qu’elle n’était pas supposée y accéder, n’ayant pas eu la vie que le système de mesure surnaturel qui juge les âmes pense qu’elle a eu. Comment faire pour ne pas se faire repérer et éviter de finir dans « The *Bad* Place » ?
Je n’étais pas trop convaincu sur les 2 premiers épisodes, mais la série gagne en efficacité après. Plutôt bien faite, présente au passage des notions d’éthique qu’on ne s’attendrait pas à avoir dans une dans une série grand public et pose du coup pas mal de questions intéressantes. Plusieurs personnages très réussis, notamment le système d’information anthropomorphique Janet et ses réactions absolument pas humaines, et Mindy St Claire.
La saison 3 était beaucoup plus faible, grosse baisse de régime, on voit que ça galérait un peu pour trouver des idées.
Bonne quatrième et finale saison, surtout la seconde moitié, j’ai trouvé. Ils réussissent à bien finir alors que c’était loin d’être évident.
Une réflexion sur « The Good Place, de Michael Schur »