Une bande dessinée qui retrace que ce fut le Tour de France de 1910. Le duel entre les deux favoris, mais surtout le quotidien du Tour, un Tour couru essentiellement par des cyclistes amateurs, réparant eux-mêmes leur vélos, toute assistance extérieure étant interdites durant les étapes. Pas de dérailleurs, les freins sont une nouveautés, le parcours est gargantuesque, épuisant peu à peu les participants (ils ne seront que 41 à l’arrivée). J’aime bien son style de dessin, il faudrait que je mette la main sur un exemplaire de L’Invention du Vide, notamment parce que comme illustré ci-contre, ses paysages de montagne sont très beaux.
Une réflexion sur « Le Tour des Géants, de Nicolas Debon »