Transcrit d’une conférence sur le sujet donné en 2010. Court et intéressant, parle de la perception des squats par les riverain⋅e⋅s, par les autorités (et notamment le traitement totalement défavorable qui leur est fait par la justice qui fait toujours primer le droit à la propriété sur le droit au logement, réclamant parfois des indemnités pharaoniques aux squatteureuses), et de la perception des squats par les squatteureuses, qui à la fois vivent dans une incertitude sur leur possibilité de rester et pour combien de temps qui a de fortes conséquences psychologiques, mais qui aussi par rapport aux foyers ou à d’autre types de logements qui leur sont accessibles, peuvent revendiquer un « chez soi » qu’els peuvent aménager et améliorer comme els l’entendent.