Après avoir soigné son addiction à la cocaïne, Sherlock Holmes est envoyé à New York par son père et se voit adjoindre un compagnon qui doit veiller à son sevrage, Joan Watson, ancienne chirurgienne. Encore une adaptation de Sherlock Holmes, me direz-vous ; encore une bonne, vous répondrais-je. Elementary vaut le détour et je remercie picomango de me l’avoir fait découvrir.
[EDIT 2018 : La première saison est vraiment bonne (format procedural, faut aimer mais ça marche bien pour de l’enquête policière) ; le gros intérêt de cette version c’est qu’elle nous présente un Sherlock génial sans qu’il soit pour autant obligé d’être un insupportable connard avec tout le monde autour de lui ; ici Sherlock se préoccupe des gens qui l’entourent. Watson n’est pas le sujet de ses blagues mais une égale dans le duo. Et on ne nous colle pas une romance artificielle entre les deux sous prétexte qu’els ne sont pas du même genre et que donc bim les loi de l’hétéroattractivité sont immuables.
Après, le duo entre les 2 persos fonctionne super bien sur la première saison, bien sur la seconde, puis ça se délite. C’est dommage parce que les personnages secondaires des premières saisons sont très bien, mais ça se dégrade. J’ai fini par abandonné à la saison 4 je crois, mais je recommande vraiment les 2 premières saisons.]
Une réflexion sur « Elementary, de Robert Doherty »