It ain’t over ’till it’s over

Après Air India qui fait faillite, c’est au tour d’Etihad Airways de ne pas savoir faire partir ses avions à l’heure. Je suis donc en attente d’un vol pour Beyrouth depuis Abu Dhabi, au lieu du vol pour Paris qu’on ne m’a pas laissé prendre après le sprint le plus ouf de l’histoire de l’Humanité – 110 mètres haîne avec saut d’obstacles (contrôle de sécurité, flight transfer…) – Parce que « yes you’re on time but you luggage can’t make it into the aircraft ». SIGH
J’ai donc eu le droit a un rebooking par le mec le plus incompétent de la susmentionnée histoire de l’Humanité : le mec a déchiré son impression en deux en la sortant, a déchiré mon ticket de bagage, ne m’a filé qu’un billet sur deux, a omis de rerouter ma valise… finalement sa collègue est venu à la rescousse. Je sais pas si les faibles hériteront de la Terre, mais les faibles d’esprit ont clairement hérité des aéroports. Pour toute compensation j’ai eu le droit à un petit déjeuner dégueulasse, et ma correspondance à Beyrouth a une marge de 45 minutes durant lesquelles je dois trouver un comptoir Air Frace et y faire imprimer mon billet. J’ai donc environ une chance sur une de rater cette correspondance aussi. ReSIGH.

EDIT: Au final le billet était préimprimé et le vol Air France en retard, donc je l’ai eu.
Durant le vol depuis Abu Dhabi, mon voisin a fait la causette « Là on est au dessus de la Syrie. La semaine dernière ils ont abattu un avion turc. » Ah.
Et sinon, Air France a gagné mon coeur en me servant du vin et du pain.

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