Tréfonds 24

Petit repas Vdg avec Squirrel et BiBi. Descente du trépied et de l’appareil photo bridge. Repas constitué d’une salade caprese, d’un cake carotte/chèvre/noix, de beignets de pomme de terre, de confit de canards (pour les carnistes), de fondant au chocolat et de fraises. Fitou et bières en accompagnement du repas, thé digestif. Descente très posée.

Salle des religions
Salle des religions
Salle des religions
Salle des religions
Électro
Électro
Électro, vue d'ensemble
Électro, vue d’ensemble
Électro, tags muraux
Électro, tags muraux
Électro, entrée.
Électro, entrée.

Art de rue encore

Les choses s’emballent parfois. Après cinq visites d’appartements hier, une agence nous a appelé pour nous dire que notre dossier était retenu. Nous signons demain et pouvons emménager dès vendredi. Dans un lieu qui n’est pas sans rapport avec les photos suivantes.

Tête et bouée
Tête et bouée
Magritte par Pimax, version 2
Magritte par Pimax, version 2
Van Gogh par Pimax
Van Gogh par Pimax
Astroboy par Pimax
Astroboy par Pimax
Myoshi dont je n'ai pas trouvé le numéro
Moyoshi dont je n’ai pas trouvé le numéro [edit : c’est le #5, le numéro est à moitié effacé en bas]

Take a walk on the parisian side

Je suis à la recherche d’un appartement pour abriter ma colocation putative en ce moment. C’est épuisant, ça montre à quel point l’immobilier parisien est dysfonctionnel, ça me bouffe mes journées, mais au moins je fais plein de vélo et je vois du paysage.

Poison, do not drink
Poison, do not drink
Zak, rue Commines
Zak, rue Commines
#backtothestreets vers le Panthéon
#backtothestreets vers le Panthéon
Lézarts, près de Jussieu
Lézarts, rue des Écoles
C215, avenue de Choisy
C215, avenue de Choisy
Hommage à Matisse, place d'Italie
Hommage à Matisse, place d’Italie
Fresque dans le XIIIe
Fresque dans le XIIIe

Tréfonds 23

Rentrée souterraine. Il y avait pas mal de monde en bas, on a croisé un gros groupe (avec un chien), un joueur de bolas, de gros fumis qui font plaisir… On a aussi pas mal trippé avec la lumière, il y a de nouveaux tags de Nobad à la peinture phosphorescente. (notamment une très jolie rosace).

Chèvre, de TeK
Chèvre, de TeK
"Made for peace with love", de Kaz
« Made for peace with love », de Kaz
Singapour, de Nobad
Singapour, de Nobad
Rose, de Nobad
Rose, de Nobad
Le Cap, Saint-Denis et une rosace, de Nobad.
Le Cap, Saint-Denis et une rosace, de Nobad.

Grande Galerie de l’Évolution

J’y suis allé avec LL à l’occasion d’une exposition sur les Grands Singes. L’exposition abordait les différences morphologiques entre les différents grands singes, les divergences phylogénétiques, leurs aire de répartition, leurs relations sociales, leur usage des outils, la façon qu’avaient les chercheurs de les observer, leurs représentations dans la culture et les menaces que les humains font peser sur les autres grands singes. C’était donc assez complet et assez bien fait. LL en a profité pour me montrer le reste de la galerie (elle a fait un stage au MNHN et était donc assez opé sur la galerie)

Squelette de baleine
Squelette de baleine
Galerie
Galerie
Microcèbe mignon
Microcèbe mignon

Livres

La Théorie de la Tartine, de Titiou Lecocq. Roman sur l’émergence de l’Internet grand public et son impact sur trois précaires en 9 ans. C’est intéressant, on retrouve pas mal de bout de la vie de l’auteur (je suis son blog) et c’est globalement bien vu. Et c’est prenant, je l’ai lu en deux jours.

Security in a box, de Tactical Technology Collective et Frontline. Un guide de sécurité informatique à destination de tous publics, mais principalement les ONG et défenseurs des droits. Reprenant les concepts de la base sans rentrer dans les détails techniques mais en proposant des solutions libres et simples. Utile pour remettre à plat les notions.

Paris sans le peuple d’Anne Clerval. Reprise de la thèse de l’autrice sur la gentrification de la capitale. Ça aborde à la fois les acteurs, les phénomènes géographiques, la réaction de la municipalité, l’inscription dans les rapports de classe parisiens. Passionnant, ça m’a donné envie de lire plus de géographie radicale.

Soumission de Houellebecq. Vomitif comme prévu. Il a l’air de n’absolument rien comprendre aux rapports humains, conséquemment il est à peu près impossible d’avoir de l’empathie avec le narrateur, et politiquement c’est puant. Yay.

Black-Out de Connie Willis. Des historiens de 2062 retournent dans le temps pour observer différents aspects de la Seconde Guerre Mondiale. J’aime bien les livres de Connie Willis, l’ambiance et les intrigues (malgré leur lenteur incroyable), mais franchement, là on a vraiment l’impression que les historiens partent dans le passé les mains dans les poches avec absolument aucun plan de secours si les choses tournent mal, c’est assez aberrant pour me sortir souvent du bouquin.