C’était assez anecdotique. Suite à un attentat d’extrême gauche dans une mine de graphite, un nuage de graphite remonte l’Europe au gré des courants aériens. Aucun risque pour la santé humaine, mais le contact avec les lignes haute tension l’enflamme, provoquant des incendies. Contraints et forcés, les gouvernements italiens puis français coupent les réseaux électrique le temps du passage du nuage, provoquant une parenthèse dans la vie économique du pays.
La prémice était intéressante, mais derrière c’est surtout les états d’âme du microcosme du gouvernement français, délocalisé sur l’île de Sein bénéficiant d’un réseau indépendant du réseau métropolitain. Y’a quelques passages rigolos sur (mais pas tendre avec) les anarcho-autonomes, mais c’est tout.
Une réflexion sur « La Grande Panne, d’Hadrien Klent »