Essai sur l’usage d’Internet à travers le monde, dont la thèse est que ces usages varient considérablement en terme de censure, de services utilisés, de sites consultés, en fonction des différents territoires géographiques, linguistiques, communautaires, au point qu’il faudrait parler des internets plutôt que de l’Internet unique. Intéressant mais inégal, il y a des moments où Martel est trop dans le descriptif (voire dans le narratif, à la Robert Fisk (paie ta comparaison compréhensible par quatre personnes) et pas assez dans l’analyse. « Là y’a ça ». Eh bah c’est super.
Plus pertinent quand il parle spécifiquement des modifications de la façon dont on consomme la culture avec Internet, ce qui à l’air d’être plus son turf.